VOUS ETES DES HÉROS FANTA ◄ Quand il n’y a plus de place en enfer, les morts reviennent sur terre. 4102579639
le forum a besoin de vous afin d'amener des petits membres adorables en notre sein.
donc n'hésitez pas à mettre un petit message sur BAZZART && PRD. que la force soit avec vous, faibles petits humains FANTA ◄ Quand il n’y a plus de place en enfer, les morts reviennent sur terre. 4139026197 
-55%
Le deal à ne pas rater :
Coffret d’outils – STANLEY – STMT0-74101 – 38 pièces – ...
21.99 € 49.04 €
Voir le deal

Partagez | 
 

 FANTA ◄ Quand il n’y a plus de place en enfer, les morts reviennent sur terre.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Fantana Barrymore
Fantana Barrymore
un petit trésor à l'état pur

→ Rôdeurs tués : 170
→ Age : Vingt-quatre ans
→ Camp de survie : Gang Of Black Panthers

FANTA ◄ Quand il n’y a plus de place en enfer, les morts reviennent sur terre. Empty
MessageSujet: FANTA ◄ Quand il n’y a plus de place en enfer, les morts reviennent sur terre.   FANTA ◄ Quand il n’y a plus de place en enfer, les morts reviennent sur terre. EmptySam 6 Juil - 16:47

surnom → fanta. âge →  vingt-quatre ans. lieu de naissance → à atlanta, en amérique. nationalité → américaine. situation amoureuse →  folle amoureuse mais ça relève de l'inceste... officiellement célibataire. ancien métier →  serveuse dans un petit bar médiocre. caractère → ambitieuse, naïve, patiente, paumée, optimiste, fragile, courageuse, sensible, intelligente, mystérieuse, émouvante, froide, attachante, rancunière, sociable, dur, douce, personnage à deux facettes, lunatique, persévérante, méfiante, colérique, parfois folle, dégantée au penchant auto-destructeur, dévergondée, possessive, indépendante, maligne, bornée, généreuse, rebelle, maladroite, franche, désespérée, peu sûre d'elle..  

GANG OF BLACK PANTHERS

fanta n'a pas connu une enfance des plus faciles si bien qu'elle n'a jamais eu confiance en elle, ni en personne d'autres hormis son frère. ∞ fascinée par l'inconnu, elle n'a pas peur de la nouveauté, de la solitude mais, se méfie tout de même du monde en général. ∞ fantana est prête à tout pour arriver à ses fins, quitte à se mettre en danger. Elle n'a conscience de la gravité des choses seulement après avoir agi ce qui lui cause parfois des ennuis. ∞ Quand la demoiselle a une idée en tête, elle fait tout pour plaider sa cause et ce, même si elle sait parfaitement qu'elle se goure sur toute la ligne. ∞ fantana a des tics qui la trahissent souvent auprès de ses "proches". Par exemple, lorsqu'elle ment, elle plisse le nez ou encore, quand elle n'est vraiment pas sûre d'elle, elle hausse un sourcil. ∞ c'est une femme qui a grandi entouré d'hommes alors la féminité, elle ne connait que très peu et préfère rester naturelle, rester elle. ∞ elle est très sensible, une faiblesse que seule son frère connait puisqu'elle déteste pleurer en public. La pression morale est également une chose qui peut la faire flancher, elle reste à l'écoute mais distante et ne dévoile que peu d'informations sur sa personne. ∞ on peut la caractériser de femme fêtarde qui se laisse vite entraîner dans des histoires qui ne la concernent pas forcément. ∞ au fond, elle a toujours cette âme d'enfant fragile.


fantana barrymore
une phrase de citation.

SAVE MY LIFE, PLEASE !


« Tous les mots du dictionnaire, en toutes les langues contemporaines ou anciennes, ne suffiront pour exprimer mon regret. »

J'étais folle amoureuse de mon frère. Je le suis toujours d'ailleurs. Quelle genre de femme peut dire une telle chose ? Moi. Seulement moi. Depuis ma plus tendre enfance, c'était le seul en qui j'avais confiance, le seul pour qui j'ai toujours eu des sentiments plus forts que de l'amitié, le seul homme que j'ai toujours fréquenté. Je pensais que c'était ça, l'amour entre frère et soeur mais, ce que j'éprouvais pour lui, c'était tout autre chose. Ce que nous faisions, c'était mal. J'en pris conscience car mon père répétait à longueur de journée : Bande de dégénérés, qu'est ce que vous espériez faire, hein ? Je vais vous faire passer l'envie de vous culbuter moi ! Peu de temps après, je me retrouvais à même le sol, la lèvre en sang, deux à trois cotes fracturées. Je crachais du sang, je pleurais toutes les larmes de mon corps et ce, même si j'essayais temps bien que mal de me retenir pour ne pas satisfaire le fruit de son désir. Mon père était un cinglé, un connard de première, un alcoolique qui me faisait passer l'envie de me bourrer la gueule avec mes amis le samedi soir. Cette nuit-là, je compris que ce n'était pas le seul de la famille à ne pas avoir toute sa tête. Le regard livide, les jambes frémissantes, j'étais pris de mouvements saccadés tout en étant figée sur place. Je relevais doucement la tête vers mon frère, prise de frayeur, je fis quelques pas en arrière. Qu'est ce que t'as foutu Ghislain ? Mon dieu mais qu'est ce que t'as fais ?! Tu vois pas ? QU'EST CE QUE T'AS FAIS ??! T'es devenu comme lui ! J'le vois, j'le vois à travers toi. J'ai encore plus de raisons d'avoir peur au contraire ! T'as tué le Ghislain que j'aimais. J'pourrai pas supporter ça. J'pourrais pas vivre avec ce double de notre père à travers toi. Baisses les yeux et regardes ce que t'as fais ! J'ai envie de gerber Ghislain, t'as tout gâché. Les larmes finirent pas couler. Je ne sais pas si c'est parce que j'avais peur, parce que j'étais déçue, perdue... Mon cerveau n'était plus en état de fonctionnement, mon corps non plus. Je finis par m'écrouler, mon corps recroqueviller sur moi-même, je réfléchissais à ce que je devais faire, ce que je devais dire. Quelques jours plus tard, lors du procès de mon frère, je plaidais contre Ghislain. J'appelle mademoiselle Fantana Barrymore ! Fermant les yeux, je m'avançais, tête baissée, sous les regards des juges, des avocats et compagnie. J'aurais voulu dire la vérité, avouer à tout le monde que mon père était un enfoiré qui me battait à mort mais, si j'avais été honnête, j'aurais dû avouer la relation peu conventionnelle que j'entretenais avec mon grand frère. Je passais donc sous silence de nombreux détails, précisant seulement que Ghislain avait tué notre père à coups de couteau. Il fut jugé coupable et c'est à ce moment que je compris. J'avais fait une connerie. J'aurais dû dire la vérité, rien que la vérité. Je l'aimais. Je l'avais toujours aimé. Il m'aimait et il m'avait toujours protégé. J'aurais dû, à mon tour, le préserver mais au lieu de cela, je venais de l'envoyer en taule. Je suis désolée... C'est tout ce que je réussis à murmurer en passant à ses côtés. Pas un regard, pas la moindre émotion ne se fit ressentir, j'étais anéantie de l'avoir anéanti.  


« Quittant la pièce d’un pas ferme sans même me retourner, je savais dorénavant que c’était la dernière fois que je franchissais le palier de cette demeure luxueuse. Contre toutes attentes, j’en étais ravie et soulagée à la fois. »

Assise sur le rebord du lit, le regard livide, le corps immobile et pourtant tremblant, des perles d’eau comparables à du cristal ruisselaient le long de mon visage pour venir s’écraser sur mes genoux, alors que certaines d’entre elles se réfugiaient au creux de mes joues, apeurées autant que je l’étais. Je ne voulais revivre ce calvaire et pourtant, je n’arrivais à fuir cette nouvelle vie que je m’étais construite après avoir quittée la maison familiale. J’étais passée par tant d’étapes, des étapes que je voulais effacées, des étapes que je n’étais pas prête à  refranchir et ce, pour tout l’or du monde… Peut-être que je méritais de crever en enfer, je n’étais bonne qu’à faire des conneries, bonne qu’à baiser des pauvres types en manque qui bandaient sur le premier bout de chair apparent. Il avait surement raison, je méritais d’être enfermée dans cette putain de tour jusqu’au restant de mes jours où, au moins, je ne faisais de mal à personne si ce n’est à moi-même. T’as fini d'chialer comme si c'était la première fois qu'tu l'faisais ? T'es habituée pourtant, t'as fait ça toute ta vie, pas vrai ?! Des flash vinrent me heurter l'esprit, des images de mon frère, des images de toutes les enflures qui étaient passés après lui et avec qui j'avais pris mon pied pour le fric et uniquement le fric. La colère m'envahissait petit à petit jusqu'à ce qu'elle finisse pas explosée intérieurement telle une bombe à retardement. J'avais envie d'lui cracher au visage, d'lui dire ce que je pensais réellement de la situation, d'lui faire ravaler sa fierté à coups de pieds dans le cul mais au lieu de ça, je me levais et marchais d'un pas sûr jusqu'à sa hauteur. Soutenant son regard, mes yeux encore humides plongèrent dans les siens comme un océan se jetant contre les rochers avant de les recouvrir entièrement, de les noyer au sens propre. J'avais toutes les cartes en mains et c'est seulement à cet instant précis que je m'en rendais compte. J'ai rien ressenti. J'ai jamais rien ressenti. Tu couines comme un chien paumé et j'me retrouve écraser par ton tas de muscles à chaque fois. Faire la pute sur le bord de la route provoque plus d'adrénaline et de plaisir qu'allait au "septième ciel" avec toi. Crèves en enfer chéri mais, ça sera sans moi ! Arborant l'un de mes plus larges sourires, j'enfilais ma robe sous ses yeux et tournais les talons malgré ses grognements incessants. T'es rien sans moi Fanta, je t'ai créé, t'es qu'une paumée, une pute que j'ai ramassais dans un bar et qui va très vite y retourner si tu quittes cette maison. Je savais parfaitement que ce qu'il disait été vrai. La loi de la jungle régnait en Amérique et je pouvais me faire bouffer par un lion d'une seconde à l'autre mais, je prenais le risque. Je tenais à ma liberté bien plus que tout au monde, je ne désirais pas rester objet toute ma vie, j'avais besoin de bouger autrement qu'avec mon bassin, j'avais besoin de changement et d'aventures pour exister. Et la princesse quitta son château pour retourner dans les bas fond de Compton. Mes derniers mots furent alors prononcer, j'activai la poignet de la porte et quittai mon palace à tout jamais...


« Tout ce que je veux, je l'ai et personne ne pourra jamais se mettre en travers de mon chemin. Je suis forte. Je ne suis plus une enfant. »

J'ai beaucoup de chose à rattraper. J'ai toute une vie a réécrire. Mon destin n'est pas tracé, j'en fais ce que j'en veux, je peux devenir celle qui je désire au plus profond de mon être. Après tout, je n'ai que vingt-quatre ans et ce n'est pas une bande de zombies affamés qui va me dicter ma conduite et m'empêcher de remplir mes obligations. Je marchais depuis de nombreux jours dans le but de rejoindre les Black Panthers, non pas pour faire ami/ami avec eux mais elle est bien pour leur soutirer des informations en m'infiltrant dans leur gang de gros bras. Hey ma belle ! Tu prends combien ? Une femme chez les black panthers ? D'après ce que j'ai entendu, c'est tout à fait normal de recevoir de tels propos à notre arrivée. Toutes des salopes prêtes à sauter sur tout ce qui bougent pour obtenir la vie sauve. Je n'étais plus ce genre de femmes, je commençais à me respecter et il était hors de question que je recommence mes conneries. Mon coeur était pris ailleurs, par quelqu'un qui en avait surement plus rien à foutre de moi. D'ailleurs, savait-il que j'étais encore vivante ? Pensait-il encore à moi ? Aucune importance, je comptais bien refaire surface dans sa vie le moment venu. Je baise pas pour du fric. Je baise quand j'en ai envie et aujourd'hui, j'en ai pas envie ! Répondis-je à l'afro-américain aux tatouages bizarres qui se tenait devant moi depuis plusieurs minutes maintenant. Je restais calme, je souriais tant bien que mal. L'ancienne Fanta aurait surement tourné les talons. Elle aurait pris ses jambes à son cou et aurait trottiné sur des centaines de kilomètres s'il le fallait. La nouvelle prenait le dessus parce qu'elle savait exactement ce qu'elle voulait : rester en vie jusqu'à ce que Ghislain lui pardonne. T'as cru que tu pouvais rentrer ici comme ça ? Je baissais la tête en adoptant un air triste alors qu'il s'avançait dangereusement de moi. J'aurais pu me laisser faire comme je le faisais depuis des années et des années mais, Ghislain n'aurait pas aimé cela. J'avais l'impression que mes moindres faits et gestes étaient définis par rapport au jeune homme aujourd'hui. Soupirant, je sortis de ma poche mon petit M9 que je pointais en direction de la seule chose qui faisait qu'il s'en prenait à moi. Fais un pas de plus et tu pourras même plus te branler mon coeur ! Je veux parler au boss. Large sourire aux lèvres, j'attendais avec impatience sa réaction. Il releva le regard, lâcha un instant mes yeux comme s'il avait honte de se faire avoir de la sorte par une femme. Sa fierté en prenait un coup, je l'avoue. Il est pas disponible ! C'est tout ce qu'il réussit à me dire, sèchement et en restant de marbre. A quoi s'attendait-il ? A ce que je parte, à ce que je tourne les talons et que je retourne d'où je viens ? Non, jamais. Si j'étais ici, c'était pour une raison bien précise, il fallait que je montre au monde entier que finalement, les Black Panthers ne sont pas les maîtres du Kansas si on ne leur en donne pas les moyens. J'aime pas le fait qu'ils ne laissent aucune chance aux autres clans en effet, on se bat tous pour la même cause, pourquoi est-ce qu'ils seraient invincibles ? C'est tous des petits cons, point final. Et ben on va attendre ensemble ! Quelques jours plus tard, j'étais rentrée dans le gang des Black Panthers en temps que tueuse à gages. Je suis plutôt sexy avec un flingue dans les mains et ce, même si je ne suis pas des plus douées ! Du tout même...



VOTRE PRENOM

où as-tu découvert le forum → écrire ici.
type de personnage → [] inventé [] scénario [] pv
code du règlement → écrire ici.
mot de la fin → écrire ici.


Code:
[b]STAR EN MAJUSCULE[/b] ☞ [i]prénom  de votre personnage tout en minuscule[/i]
Revenir en haut Aller en bas
 

FANTA ◄ Quand il n’y a plus de place en enfer, les morts reviennent sur terre.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

-
» fichée terminée → un allée simple pour l'enfer.
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
when the dead come knocking. :: THE SURVIVORS OF ARMAGGEDON :: You're alive ! :: let's go for the hell-
Sauter vers: