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  (castiel-ekho) le coeur n'a jamais de rides, il n'a que des cicatrices.

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C. Castiel-Ekho Gallagher
C. Castiel-Ekho Gallagher
Will you just wait until I die

→ Rôdeurs tués : 991
→ Age : vingt-trois ans.
→ Humeur du moment : une envie de tuer du rôdeur.
→ Camp de survie : la contrainte me pousse à rester au refuge. bien que l'envie serait de partir.

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MessageSujet: (castiel-ekho) le coeur n'a jamais de rides, il n'a que des cicatrices.    (castiel-ekho) le coeur n'a jamais de rides, il n'a que des cicatrices. EmptyVen 6 Juin - 16:52

surnom → castiel ou cas' âge →  vingt-trois ans. lieu de naissance →  j'ai vu le jour dans un hôpital de Dublin en Irlande. nationalité → américaine depuis mes deux ans. situation amoureuse → il faudrait d'abords que mon coeur puisse encore battre pour quelque chose. ancien métier →  journaliste pour un magasine de mode, mais aussi styliste durant mes nuits. caractère → impulsive. solitaire. refoule ses sentiments. tenace. franche. bornée. gourmande. souffre intérieurement. sportive. agile. intelligente. curieuse. travailleuse. patiente . simple. colérique. mystérieuse. distante. têtue. différente. lunatique. froide   

the refuge

fait souvent des cauchemars sur la mort de sa famille. ∞ ne dors pas beaucoup. ∞ a une rose tatouée dans le bas du dos. ∞ ne fais pas confiance à beaucoup de personnes. ∞ ne pense pas qu'un jour tout pourra redevenir normal comme avant l'épidémie. ∞ a appris à manier toutes les armes toute seule. ∞ n'est plus vraiment faite pour la vie en communauté. ∞ a tendance à s'énerver très vite. ∞ est du genre à user de ses charmes pour avoir certaines choses.  


charlotte castiel-ekho gallagher
you know i would die for you.
pseudo ou prénom
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votre pays + écrire ici. fréquence de connexion + écrire ici. où  as-tu découvert le forum + écrire ici. si quelque chose te dérange, on veut savoir : + écrire ici. sors-tu de ta petite cervelle + () je suis fabriqué made in mon imagination () je suis un joli pv () je suis la création de la folie de quelqu'un maintenant tu peux te lâcher tout est permis + écrire ici.

Code:
[b]NINA DOBREV[/b] ☞ [i]c. castiel-ekho gallagher[/i]
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C. Castiel-Ekho Gallagher
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MessageSujet: Re: (castiel-ekho) le coeur n'a jamais de rides, il n'a que des cicatrices.    (castiel-ekho) le coeur n'a jamais de rides, il n'a que des cicatrices. EmptyVen 6 Juin - 16:52


SAVE MY LIFE, PLEASE !

MY SIMPLE LIFE
« Tu sais parfois, je te comprends pas Charlotte. il est le capitaine de l'équipe de football. lui et toi, vous ferez le couple parfait. » Emily est son envie de me trouver l'homme parfait qui aille à merveille avec mon statut au lycée. pour moi, c'est un peu n'importe quoi mais je la laisse faire car ça lui fait plaisir. pom-pom girl et reine du bal de printemps, je n'ai pas à me plaindre. mon physique est la chose dont je fais le plus attention en même temps, je veux devenir styliste. je regarde Emily en souriant en m'étirant. parfois, je me dis que j'ai de la chance. contrairement au trois quart du lycée, mes parents sont toujours ensemble, ils ont de l'argent et ils ne sont pas fous. ça me plait de voir un amour comme le leur. ils sont ensembles depuis tellement d'années. jamais une engueulade ou très rarement. ils sont présents à la maison. « Je le connais même pas. et puis, il a pas l'air d'avoir beaucoup de discussions. c'est tout partit dans ses muscles. » ah oui en passant tout le monde pense que je couche avec n'importe qui, et ce n'est pas le cas. des fausses rumeurs, qui ne montrent pas que je ne suis sortit qu'avec trois gars depuis deux ans et que je n'ai couché qu'avec un seul. le dernier. je cherche encore le prince charmant, et je sais que c'est idiot. mais j'ai ce côté rêveuse. « Tu t'en fous. il te fera gagner le prochain bal. tu auras fait un sans faute. Charlie, parfois j'ai envie de t'ouvrir les yeux. » c'est elle qui me dit ça alors que ça fait deux ans qu'elle sort avec ce geek de l'association informatique du lycée. elle me dit que je dois sortir avec le plus populaire alors qu'elle sort avec le parfait gars qu'on qualifie dans les loosers. parfois, je me dis qu'elle pouvait comprendre ce que je voulais. mais apparemment, elle veut vivre sa vie populaire à travers moi. chacun son trip après tout. je me redressais et voyais que cet abruti de capitaine de football était entrain de me lorgner. je lui fis un petit signe de la main avec un sourire forcé.  je pouvais jouer avec ça et lui faire croire qu'il avait ses chances alors que ce n'était pas le cas.  être populaire, apporte des avantages au sein de cet établissement. j'en profite et je l'avoue. certains pouvaient me traiter de poufiasse ou de conne, ça m'était égale. ma vie me plaisait et c'est tout ce qui comptait. « je veux bien essayer mais juste pour te faire plaisir. » c'était notre dernière année et autant en profiter alors que peut-être l'année prochaine nous serions séparé. j'attrapais mon sac, embrassait ma meilleure amie et partait avec mon grand frère.

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THE BEGINNING OF THE HELL.
il y a des matins où on pense avoir encore une journée ordinaire. se lever, se préparer, aller au bureau, travailler, rentrer, manger et coudre. et puis on recommence encore et encore. je ne déteste pas mon emploi de journaliste dans ce magasine de mode. comme d'habitude, je sors de mon appartement. et là, tout semble bizarre. je vois des gens partir de partout. j'ai un mauvais pressentiment. un très mauvais pressentiment. alors au lieu de prendre le train pour au travail, je vais dans l'autre sens. mes parents habitent en banlieue avec ma petite sœur. le quartier a toujours été calme et ça ne déroge pas à la règle. à l'arrêt de bus, je marche jusqu'à la quatrième maison. une jolie petite maison jaune claire avec les bords blancs. quelqu'un s'approche de moi bizarrement et je me mets à courir. entrant dans notre maison en fermant la porte rapidement. je pose mon manteau dans l'entrée. « MAMAN. PAPA. il y a quelqu'un ? c'est moi, Charlotte. » je vois du sang sur le carrelage de la cuisine et d'un seul coup, papa arrive. ça démarche est étrange. au moment où il est tout proche, je me rends compte que ses yeux sont bizarres et qu'il a une morsure horrible sur le bras. je porte ma main à ma bouche. ce n'est plus papa. vu son visage terrible, ça ne peut plus être lui surtout quand il ouvre sa bouche comme s'il voulait me manger. il se jette sur moi. je lui donne un coup dans le ventre le faisant tomber au loin. j'attrape le premier truc que je trouve dans la cuisine, un couteau. il fonce de nouveau sur moi et je lui enfonce le couteau droit dans l'œil. il tombe au sol et je regarde ce cadavre horrifié. la peur prend possession de mon corps. je ressens des frissons de partout. je sais que papa laisse une batte de baseball dans un placard, je l'attrape et la tient en haut. mes mains sont moites et tremblantes. « MAMAN. MAMAN. » des larmes commencent à couler le long de mes joues. je n'arrive  pas à croire que je viens de tuer mon propre père qui a essayé de me mordre au bras. je monte les escaliers doucement, ma batte dans la main. j'essaye de ne pas faire craquer l'escalier. une fois à l'étage, je me dirige tout droit vers la chambre de  mes parents. maman est là aussi en face de moi avec le même visage, la même démarche. cette fois, je suis  prête. je la frappe directement à la tête. elle tombe mais se redresse. je frappe à nouveau. et encore jusqu'à qu'elle ne se lève plus. l'horreur du spectacle me fait sortir mes trippes dans un coin de la salle. je m'essuie la bouche du revers de ma manche en ne trouvant pas la force de continuer. je ne sais pas ce qui se passe, je ne sais pas pourquoi mes parents étaient de la sorte. je sais juste que ce n'était plus eux et plus mes parents. deux personnes qui avaient leur apparence. je fais le tour de la maison en ne trouvant pas ma petite sœur. elle n'est pas là et c'est dans le jardin que je trouve une marre de  sang avec un bout de ce ne sait pas quoi et un bout de tissus de ma sœur. je ne veux pas savoir ce qui s'est passé et pourquoi il y a ce truc immonde dans le jardin. je me laisse tomber sur l'herbe fraîche à genoux en laissant mes larmes perlaient. je n'arrive pas à croire ce qui se passe en ce moment même. je m'étais levé comme d'habitude et même mon réveil avait son affreuse sonnerie. je regardais mon portable en ne voyant aucun appel de mon boss. bizarre quand on s'est qu'il ne supporte pas une minute de retard. au moment où je redresse la tête, je vois Madame Steele et juste à sa démarche, je sais qu'elle n'est plus cette voisine adorable qui m'offrait tous le temps mes cookies préférés. « je crois que je ferais mieux de partir d'ici.  » je me lève et me met à courir. je cours m'enfermer dans la maison. c'est dans ma chambre que je trouve refuge en me blottissant dans un coin après avoir fait en sorte que personne ne puisse entrer.

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AND ONE DAY, SHE CHANGES.
je courais à travers les bois, deux rôdeurs à mes fesses. je tournais ma tête pour les regarder essayant de remettre une flèche dans mon arbalète. je dois dire qu'il m'a fallut du temps pour réussir à utiliser cette arme que j'avais trouvé dans le grenier de la maison. ça m'avait fait rappeler que papa s'en servait en Irlande pour aller chasser le chevreuil. maman détestait qu'on est ce genre d'armes entre les mains et moi, qui pensait que je n'en utiliserais jamais aucune. j'étais désormais différente d'avant. je n'étais plus la fille naïve qui pensait plus à son style vestimentaire et son vernis. ça n'avait plus d'importance. j'étais plus forte, moins fragile. j'ai appris à vivre dans ce monde et à me débrouiller toute seule. ma flèche mise sur mon arbalète, j'étais prête à lui exploser la cervelle. seulement, un nouveau coup d'œil et plus de rôdeurs. mais un cri transperça le silence de cette forêt. je fis demi-tour et tomber sur les deux rôdeurs entrain de s'attaquer à un couple. « baissez-vous !  » criais-je à la femme qui le fit immédiatement. je tirais ma flèche qui vint se planter à l'arrière du crâne du rôdeur et dont le cadavre s'écroula sur la demoiselle. je n'avais pas le temps de remettre une flèche dans mon arbalète, j'attrapais la machette que je gardais à ma ceinture. la femme était coincé sous le cadavre et elle continuait à crier. je lui fis signe de se taire pour que le rôdeur ne se rende pas compte de sa présence. trois petits mouvements et le rodeur se retrouvait avec le bout de ma lame dans son crâne. je m'approchais de lui et posant mon pieds, sur son crâne, je récupérais mon arme mais aussi ma flèche sur l'autre. je poussais le cadavre du premier pour aider la demoiselle à sortir de dessous. « Vous allez bien ?  » demandais-je en regardant si elle n'avait pas une morsure de rôdeur. car si ça avait été le cas, j'aurais dû mettre fin à sa vie avant qu'elle ne meurt en souffrant et qu'elle devienne comme lui. « Oui... euh non. je ne sais pas en faite. et mon petit ami. » son petit ami n'avait pas donné signe de vie depuis que j'étais venue à leur rescousse. je m'accroupissais vers le jeune homme posant ma main sur son cou. plus aucun battement de cœur. son bras droit était recouvert de deux morsures dont l'une lui avait retiré la moitié du bras. et je ne parlais pas du reste. il était mort et il fallait mettre hors de service son cerveau avant qu'il ne se réveille en zombie. ça ne me faisait plus rien de devoir tuer une personne. ce n'était pas vraiment la tuer puisqu'elle était déjà morte. « votre petit-ami est mort. je dois...  » elle me regarda avec de grands yeux et se jeta sur le corps de son amour. ça aurait pû me faire de la peine par le passé, seulement, je ne connaissais pas cette jeune femme. je ne pouvais faire semblant d'être malheureuse. « Non. ne dites pas une telle chose. il mérite une tombe. » une tombe ! mais dans quel monde, elle vivait. elle n'avait pas ouvert les yeux et pensait toujours se trouver dans le pays des bisounours. l'homme bougea les bras. la demoiselle se mit  à sourire  comme idiote posant ses mains sur le visage de son petit-ami. je m'approchais d'eux, prête à la secourir de nouveau. elle se pensait heureuse. seulement, ce n'était pas son petit-ami mais un mort. il était lent pour l'instant mai déjà je voyais son envie de la croquer. j'abattais ma lame sur la tête de l'homme sous le cri de la demoiselle. « je voulais vous prévenir. ce n'était plus lui. il allait vous dévorer comme n'importe qui. maintenant, soit vous restez là à pleurer jusqu'à vous faire dévorer vivante, soit vous venez avec moi.  » j'étais seule depuis des mois mais je n'allais pas la laisser là en plein milieu de cette forêt comme repas vivant des rôdeurs. je me devais d'au moins la mener jusqu'à un endroit tranquille. elle pleura quelques secondes puis elle se mit à côté de moi avec  les yeux rougis.
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C. Castiel-Ekho Gallagher
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MessageSujet: Re: (castiel-ekho) le coeur n'a jamais de rides, il n'a que des cicatrices.    (castiel-ekho) le coeur n'a jamais de rides, il n'a que des cicatrices. EmptyVen 6 Juin - 16:52


SAVE MY LIFE, PLEASE !

I DON'T WANT A STORY.
J'arrivais enfin à Atlanta. cette grande ville où mon grand frère avait pris un appartement avec son meilleur ami. un gars que je n'avais jamais vraiment aimé. le genre gros dur qui pense qu'il peut tout avoir d'un claquement de doigts. le type même de gars avec qui j'étais sortit au lycée. en repensant à ces années-là, je me disais que j'avais été une idiote à comporter comme une enfant gâtée. j'avais voulu prendre par la grande avenue mais il avait rapidement fallut que je fasse marche arrière si je voulais pas finir en repas pour rôdeurs. je me glissais dans un magasin rapidement en montant les marches. les rôdeurs mettent du temps à monter les escaliers donc en passant par les toits, j'avais une plus grande chance de m'en sortir sans égratignure. heureusement que ces immeubles n'étaient pas espacés, ça me permettait de sauter de toit en toit. l'appartement de mon frère n'était plus qu'à quelques rues de là. en fin sur le bon building, je pris la porte de secours du toit. mon arbalète en main, je me glissais à pas de velours jusqu'au quatrième étage. j'étais à présent dans l'appartement de mon frère. j'étais un véritable foutoir avec des papiers de partout, les meubles renversés, et une odeur insupportable. je remontais mon foulard sur ma bouche et mon nez. j'entendis du bruit venir d'une des chambres. je frappais dans la porte la cassant et en pointant mon arbalète sur l'homme en face de moi. « Non. Non. Charlotte, c'est moi. » me cria l'homme et je reconnus Jax. c'était bien lui sous cette couche de crasse et ses vêtements en lambeaux. je n'avais plus l'habitude d'entendre quelqu'un m'appeler Charlotte. j'avais mis un terme à ce prénom à l'instant où j'avais changé, où je n'étais plus la jeune fille douce et naïve du passé. je baissais mon arbalète. « qu'est-ce que tu fous là, Jax ? je cherche mon frère, tu sais où il est. » il me regarda avec ce visage désolé, cette mine déconfite qu'on adresse à quelqu'un quand quelque chose de terrible est arrivé. je mis un énorme coup dans le mur à côté de moi. j'avais pensé retrouver mon frère en entier, vivant. il avait toujours été débrouillard et costaud. il était bien meilleur que moi pour survivre dans un monde aussi dévasté. le grand sportif de la famille et l'intelligent en plus de ça. il était le premier enfant de la famille Gallagher et le meilleur en tout. « on a essayé de partir mais on est tombé nez à nez avec une bande de zombies. j'ai couru mais il était plus derrière moi. je suis désolé, Charlotte. » j'aurais dû être avec lui au moins j'aurais pû le sauver. j'aurais dû aller plus vite, venir plus vite à Atlanta. j'avais trop pris de temps. une larme coula le long de ma joue. la seule depuis de longs mois. je n'avais plus rien à faire ici. je n'avais plus personne  à essayer de trouver. j'étais désormais la dernière de la famille Gallagher. j'allais partir ailleurs. on disait qu'il y avait un camp de survivants dans une ferme pas loin. peut-être que j'allais retrouver des personnes que je connaissais. « Tu devrais quitter Atlanta, Jax. c'est l'endroit le moins sûr qui existe.  » lui dis-je avant de quitter cette chambre. il m'attrapa le bras. je me retournais pour lui faire face en le poussant. « Je viens avec toi. » me dit-il en attrapant l'arme qu'il gardait près de lui au moment où j'avais fait irruption dans la pièce.

je ne savais pas si c'est ce camp était le mieux pour moi. cependant, j'avais pû être mieux pendant quelques minutes en pouvant prendre une véritable douche avec de l'eau chaude. c'est surtout  Jax qui avait insisté pour qu'on reste ici. il disait que ça allait nous permettre de nous reconstruire. mes fesses. j'avais vu la manière dont il me regardait, la façon dont il me parlait. il cherchait à me faire céder à la tentation en sortant son dialogue de séducteur. il voulait venir avec moi pour essayer de chasser quelque chose. « Jax, où tu es bon sang.» criais-je en me rappelant bien qu'il m'avait dit qu'on devait se retrouver ici pour partir chasser. mais personne. je sortais mon arbalète de derrière mon dos en pointant face à moi. un buisson frémit. surement un rôdeur qui avait réussi à trouver son chemin à travers les champs. c'était Jax qui sortait de là sans arme, sans rien. « tu te fous de moi. on va chasser, pas faire une balade pour prendre l''air.» il s'approcha de moi posant une main sur ma joue. je lui donnais une claque dessus pour qu'il la retire. il posa une main dans le bas de mon dos et m'attira contre lui avec ce sourire sur le visage. l'épidémie n'avait rien changer à son caractère. toujours le même. il laissa sa main dans mon dos rapprochant ses lèvres près des miennes.  « tu vas pas me dire que tu n'en as pas envie. » il avait réussit à me tenter. il rapprocha ses lèvres encore des miennes et c'est moi qui mit fin à la distance. je l'embrassais fougueusement. il me fit reculer jusqu'à un arbre me plaquant contre. qui aurait pensé que je puisse céder à sa tentation. assise sur l'herbe, je remettais mes vêtements. ce n'était pas très prudent de rester plus longtemps comme ça, surtout que les rôdeurs pouvaient être n'importe où. « Ce qui s'est passé, n'arrivera plus. c'est la première et la dernière fois. » lançais-je en reprenant mon arbalète et ma machette. je commençais à marcher. « c'est ce que tu dis. » j'avais fait une erreur en le laissant faire. je n'aurais pas dû céder à la tentation, à cette envie de me laisser aller pendant quelques minutes.

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I'M A BIG GIRL.
j'en avais plus que marre de ces foutues règles à la con. et cette foutue femme qui n'arrêtait pas de me sermonner en me  disant que je devais m'occuper de la cuisine et des lessives. je crois que j'aurais mieux fait de ne pas écouter Jax et de reprendre la route pour me débrouiller toute seule. je m'étais attaché à certaines personnes, même si je le montrais pas et je ne voulais pas les laisser ici comme ça. je voulais pouvoir être là pour les protéger s'il se passait quelque chose. la seule manière que je trouvais pour évacuer ma colère, c'était de partir dans cette forêt. et le mieux était que je tombe sur un rôdeur. au moins, je pouvais me défouler sur lui et évacuer la colère que je gardais en moi. et pour une fois, je tombais directement sur un rôdeur. sa tête tomba au sol et avec mon pieds, je la mettais en charpie. mais en voulant prendre une autre direction, je me pris les pieds dans une branche. je déboulais une pente en heurtant ma jambe mais aussi ma tête contre une pierre. arrivé en bas, ce fut tout noir. je me réveillais à temps voyant un rôdeur arrivait droit sur moi. je voulus me relever pour attraper mon arbalète qui avait glisser plus loin. ma jambe me fit atrocement mal que j'en criais de douleur. je n'allais pas me laisser faire. ça non. je n'allais pas mourir de cette façon après tout ce que j'avais fait. le rôdeur se jeta sur moi et je le  repoussais avec l'autre jambe qui n'avait rien. je regardais à côté de moi essayant de trouver un truc qui pourrait me servir pour fracasser sa tête. rien du tout. je fermais les yeux quelques secondes pour me dire que je devais faire abstraction de ma douleur pour rester en vie. mais le temps que je trouve ce courage, le rôdeur était au sol, le crâne explosait sous le regard rieur de l'homme qui l'avait fait. « vous avez eu de la chance que je traîne dans le coin.» me lança-t-il en me tendant une main pour m'aider à me relever. je la pris pas et me forçait à me redresser toute seule. une fois debout, je n'appuyais pas sur la jambe qui me faisait souffrir. « je n'avais pas besoin d'aide. j'aurais pû me débrouiller toute seule. » il rigola et me tendit mon arme. je l'attrapais en n'appréciant pas son ton et la façon dont il se moquait de moi. « vous avez vu l'état dans lequel vous êtes. ce rôdeur n'aurait fait qu'une bouchée de vous.» je vacillais légèrement essayant de reprendre le chemin vers le camp sans faire attention à ce qu'il venait de me dire car j'allais m'énerver sinon. je détestais qu'on me voit comme une petite fille fragile. je sais m débrouiller toute seule. et ce n'est pas parce que j'ai un visage angélique que je ne sais pas me battre. il courra à ma hauteur ce qui ne fut pas difficile. il attrapa mon bras et le passa par-dessus son cou pour m'aider à avancer. il nous fallut un bon moment pour rentrer au campement mais on y arriva avant la nuit. l'un des survivants s'y connaissaient un peu en médecine, il soigna ma jambe. ce n'était qu'une petite foulure et il me fallut quelques points sur la tête.  j'allais devoir rester calme durant un jour ou deux. ce qui allait être très dur pour moi. mon "sauveur" avait installé son campement dans un coin un peu éloigné de la ferme. je me dirigeais vers lui avec une bouteille de whisky que j'avais trouvé dans un magasin de la ville. il n'avait pas le meilleur gout du monde mais ça faisait très bien l'affaire. il avait fait un feu et faisait cuire un truc bizarre. je m'installais à côté de lui. « je viens vous remercier de m'avoir aider. » il haussa les épaules comme si c'était ordinaire. je lui tendis la bouteille après avoir bu une gorgée. je fis une grimace. il attrapa la bouteille et il but. on torcha la bouteille en plusieurs minutes. l'alcool m'avait bien monté à la tête, je crois bien que je n'étais pas dans mon état normal. je rigolais pour un rien, ce qui est parfaitement bizarre en sachant que je ne rigole plus depuis la mort de ma famille. « je crois que je ferais mieux d'aller me coucher. » au vue de mon état, c'était la meilleure chose à faire. « Attends.» il posa la main sur mon bras pour me faire rester ici. il m'embrassa soudainement. je n'eu pas vraiment conscience de ce qui se passait. je ne bougeais pas, ne le repoussait pas, ne sachant pas vraiment pourquoi il agissait de la sorte. « désolé.» il détourna le visage et je partais retournant dans l'endroit qui me servait de chambre en le regardant une dernière fois.
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