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 Ana-Lucia Lucarez - I say move you move

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AuteurMessage
Ana-Lucia Lucarez
Ana-Lucia Lucarez
un petit trésor à l'état pur

→ Rôdeurs tués : 362
→ Age : 27 ans
→ Humeur du moment : Inlassablement en recherche
→ Camp de survie : Military Detachment

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MessageSujet: Ana-Lucia Lucarez - I say move you move   Ana-Lucia Lucarez - I say move you move EmptyVen 2 Aoû - 13:28

surnom → Ana ou Lu mais en général, vu le tempérement de la jeune femme, il vaut mieux être quelqu'un de proche pour se permettre pareil familiarité. âge →  27 ans lieu de naissance → San Juan à Porto Rico nationalité → Américo-Portoricaine situation amoureuse →  Célibataire  ancien métier →  Membre de l'Unités des Forces Spéciales de l'armée des Etats-Unis (SWAT) caractère → Débrouillarde - indépendante - forte - courageuse - téméraire - grande gueule - bagarreuse - responsable - protectrice - orgueilleuse - volontaire - têtue - déterminée - impulsive - altruiste - généreuse - exigente envers elle même - rancunière - vengeresse - incorruptible - maline - sanguine.  

MILITARY DETACHMENT

Elle est à la recherche de sa nièce, Maya ∞ elle vit beaucoup du troc et de petits échanges ∞ elle a appris à poser des pièges ∞ elle porte un bracelet offert par sa nièce ∞ elle parle couramment espagnole ∞ homme ou femme, elle ne s'accomode pas de ce genre de détails pour ses aventures ∞ elle ne supporte pas être une "demoiselle en détresse" ∞ elle bichonne sa dodge charger, dernier souvenir de son frère, et tuerait quiconque la lui vol


Ana-Lucia Lucarez
I'll help you 'cause I can't help myself.

SAVE MY LIFE, PLEASE !
07 Janvier 2004

Le soleil dardait ses rayons sur les plaines arides d'Afghanistan. Ana-Lucia, perchée dans un hélicoptère était prête. C'était sa première mission au sein de l'armée. Elle était jeune, mais elle avait suivit une formation assidue et avait joué des coudes pour se faire une place au milieu de tous ces mâles. Réajustant la sangle de son casque kaki, elle lança un regard par dessus bord. L'air caressait son visage et agitait quelques mèches de ses cheveux ébène. Son regard, plongé dans le lointain, était fixe et sûr. Son visage était fermé, dissimulant à la perfection l'excitation des débuts, l'envie de se retrouver sur le terrain. La mission était assez simple - mettre les civiles locaux et ressortissants américains à l'abri - mais c'était le genre de mission pour laquelle elle s'était engagée : sauver des vies. Alors qu'elle tentait de se mettre en situation psychologique, une voix l'éloigna de toute concentration, et elle tourna son visage si vivement qu'on aurait pu croire qu'elle allait se dévisser la tête.

« Alors Lucarez, pas trop stressée ? T'inquiète pas tu pourras appeler maman en rentrant de mission ! »

« Très drôle Sanchez ! En parlant de maman, elle m'a dit de surveiller tes arrières, elle sait combien tu peux être négligeant parfois. » répondit Ana-Lucia avec un sourire railleur.

Son grand frère, le Sergent Sanchez, aimait beaucoup se moquer de sa chère petite soeur.  Bien qu'ils soient de pères différents, tous deux avaient été élevés par leur mère, une femme aimante, qui avait été affligée par l'engagement de sa petite dernière, à la suite de son aîné. Ana-Lucia avait toujours admiré son frère. Depuis sa tendre enfance, elle jouait avec lui à des jeux de garçons, se battait comme un garçon, parlait comme un garçon. Alors l'armée... Ana-Lucia lança à son frère un regard complice. Bien qu'il soit plus expérimenté qu'elle, elle surveillerait quand même ses arrières. Elle ne l'avait pas promis qu'à leur mère, sa femme et sa petite fille comptaient sur elle également.

24 Décembre 2010

La nuit étendait sa toile sombre dans le ciel. Au loin, un ranch était éclairé, au fin fond du Texas. C'est là qu'Ana-Lucia et que Marco avaient grandi. Ce soir, c'était la veille de Noël et la famille était au complet, Maya et sa mère les ayant rejoint. Il était rare qu'ils puissent passer le réveillon de Noël tous ensemble, car Marcos et Ana-Lucia était souvent prit par leurs obligations envers la patrie. Mais ce soir, ils avaient obtenu leurs fameuses permissions. Cela permettait au frère et à sa soeur de se retrouver également : depuis deux ans, la jeune femme avait quitté l'armée pour intégrer l'Unité des Forces Spéciales. Les ravages de la guerre et l'implication plus financière que politique de son pays au coeur de l'Afghanistan lui avaient laissé un goût amère. Elle préférait user de ses compétences lors d'opérations spéciales de lutte anti-terrorisme ou de missions secrètes visant à assurer la sécurité interne du pays et de ces civiles.

Ce soir était donc un soir propices aux retrouvailles. Le dîner se déroula dans la joie, la bonne humeur et l'amour. L'amour d'une famille unie et liée. Ana-Lucia appréciait énormément la femme de son frère, mais son amour était encore plus fort pour leur fille, sa jolie nièce Maya. Elle était étonnée de voir combien les deux avaient des points communs frappants : Maya était tout aussi débrouillarde et bagarreuse que l'était sa tante à son âge - au grand dam de sa mère. Heureusement la petite avait d'autres talents, dont Ana-Lucia put profiter ce soir-là.

« J'ai un cadeau pour toi tia. »

« Je suis curieuse ma chérie, fais moi voir ça. »répondit Ana-Lucia en recevant un petit paquet de papier kraft. Elle l'ouvrit et y découvrit un bracelet tressé de noir et de rouge, avec un petit pendant en forme d'as de pique. Elle l'enfila aussitôt à son poignet.
« Merci Maya, il est magnifique, je ne le quitterai jamais. »
« C'est un bracelet porte bonheur », expliqua l'enfant,« le jour où il se brise, fais un voeu et il se réalisera. »

Ana-Lucia planta un baiser sur la joue de sa nièce et la taquina avant de lui remettre son cadeau, des gants de boxe - vous auriez du voir le regard que lui lança sa belle-soeur. La soirée se déroula comme elle avait commencé : dans l'allégresse.

Mais Ana-Lucia et ses proches ignoraient qu'ils s'agissaient là du dernier Noël qu'ils passeraient ensemble.

Janvier 2013

« Arrête de dire des conneries Marco je ne t'abandonnerai pas comme un chien ! »

« Tu n'as pas le choix fillette, tu sais bien que je ne suis pas invincible. Tu as vu ce que ça leur a tous fait, je n'y échapperai pas. »

Elle les entendait, derrière cette porte, ils grattaient et grognaient, ils agissaient comme des bêtes. Mais le cas de son frère la préoccupait trop pour qu'elle s'en inquiète encore.

« Tu sais pas, tu es peut être immunisé toi ! Et arrête de m'appeler fillette, c'est pas drôle. » sa voix s'étrangla dans sa gorge. Elle ne pouvait s'y résoudre.

« Ecoute moi bien Ana, » il l'empoigna avec tant de force qu'elle en eut mal aux bras.« J'ai été MORDU. Même si je survit à ma blessure, je ne survivrai pas à l'infection et je finirai comme eux. Prends ça ! » Il arracha d'un coup sec ses plaques et les enfonça si fort dans la main de sa soeur qu'elles y laissèrent une marque rouge.« Vas-t-en, retrouve Maya et donne les lui. »

Ces bruits annonciateurs d'une fin certaine et proche commençaient à sérieusement affoler la jeune femme, mais elle ne pouvait se résoudre à laisser son frère tel quel.

« Je préfère te tuer que de te laisser seul ici te faire bouffer par ces monstres avant de devenir l'un d'eux. »

« ARRÊTE ET FAIS CE QUE JE TE DIS ! » Ana-Lucia se tut, interloquée. C'était la première fois que son frère lui hurlait dessus.« Je vais faire diversion pour que tu aies une chance de t'échapper, et toi tu te tire par le toit. Retrouve Maya, retrouve ma femme. Retrouve les Ana ! » Ana resta un instant à le regarder fixement, mais d'un regard éteint. Elle ne pouvait pas, elle n'en avait pas la force. « Aller dégage !» Il la poussa brusquement et, mécaniquement, elle lui obéit. Elle se sentait comme une coquille vide. Il la poussa encore et elle se dirigea vers la trappe menant aux combles. Elle se retourna, hésitant à grimper l'échelle, lançant un dernier regard à son frère.« Aller vas y, je compte sur toi.                     Je t'aime Ana. »

Elle ne lui répondit pas, elle n'en eut ni la force ni la présence d'esprit. Elle regrettait son geste mais une force plus grande qu'elle l'y poussait. La foi que son frère plaçait en elle.
Elle grimpa jusqu'aux combles, détruisit d'un coup de pied le bois pourris de la charpente, créa un orifice assez large pour la laisser passer. Elle se laisserait glisser jusqu'à la gouttière, atteindrait le jardin et sauterait la palissade avant de s'évanouir dans la nature. Sous le plancher elle entendit la porte céder et des coups de feux éclatèrent, crevant le silence. Le coeur battant, elle exécuta le plan de son frère visant à lui sauver la vie. Elle courut à perdre haleine, les coups de feux retentissants en rythmes avec les battements de son propre sang à ses oreilles. Lorsqu'elle arriva à l'orée d'un sous bois, elle tendit l'oreille. Les coups de feu s'étaient évanouis.

Février 2013

Ana-Lucia ne s'est jamais pardonné d'avoir abandonné son frère, et surtout de l'avoir abandonné encore en vie. Qui sait ce qu'il était advenu de son corps, s'il en restait une miette ? Ses nuits étaient bercées des cauchemars de son frère revenant, mais en rien semblable à celui qu'il était avant. Et pourtant, le jour, la jeune femme avançait, touchant souvent les plaques de son frère qu'elle portait autour du cou, jetant un regard au bracelet porte bonheur que lui avait offert sa nièce, comme pour se donner du courage. Elle retrouverait Maya et sa mère. Elle en avait la certitude, sa nièce, elle, vivait encore.  

De nos jours...

Aujourd'hui Ana-Lucia a rejoint les military detachment. Elle espérait y retrouver Maya, pensant qu'un ancien collègue de son frère aurait pu la récupérer. Mais il n'en était rien... Du coup la jeune femme essaie de défendre au mieux ce camp qui est le sien, et se maudit à chaque perte. Elle essaie de combler son échec dans la recherche de Maya en sauvant un maximum de vies et en aidant autant de personne que possible. Elle n'a pas abandonné ses recherches pour autant, mais son désespoir grandit avec les mois qui passent et la culpabilité et une haine d'elle même se font plus pressantes, rendant la jeune femme plus sombre et désemparée que jamais.

Julie alias JuneDavis
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votre pays France fréquence de connexion au minimum 5/7 :D où  as-tu découvert le forum Ca fait un momeeent que j'le connais si quelque chose te dérange, on veut savoir : Jayce me cours un peu trop après mais j'ai l'habitue maintenant U_U sors-tu de ta petite cervelle + (X) je suis fabriqué made in mon imagination () je suis un joli pv () je suis la création de la folie de quelqu'un maintenant tu peux te lâcher tout est permis Toutes les petites fesses sont à moiii :D

Code:
[b]MICHELLE RODRIGUEZ[/b] ☞ [i]ana-lucia lucarez[/i]
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