VOUS ETES DES HÉROS le forum a besoin de vous afin d'amener des petits membres adorables en notre sein. donc n'hésitez pas à mettre un petit message sur BAZZART && PRD. que la force soit avec vous, faibles petits humains
❝ Un jour viendra, nous aurons des rêves à nouveau. ❞
Auteur
Message
Graham C. Jewsbury
un petit trésor à l'état pur
→ Rôdeurs tués : 16 → Age : vingt-neuf ans.
Sujet: ❝ Un jour viendra, nous aurons des rêves à nouveau. ❞ Ven 6 Juin - 21:18
surnom → ça fait un moment qu'on ne l'appelle plus par son prénom, le peu de gens lui donnant un surnom l'appellent Jew’. on l'appelait Grammes avant, mais cette époque de sa vie est définitivement révolue. âge → vingt-neuf ans, il est né un dix-sept février, mais je suppose qu'on s'en fout. lieu de naissance → washington. aussi étrange que cela puisse paraître, c'est un endroit qu'il n'a presque jamais quitté. nationalité → américaine. tout simplement. situation amoureuse → célibataire. à vrai dire, il n'en a pas grand chose à foutre et avec ces zombies, il a plutôt d'autres chats à fouetter. ancien métier → militaire. voilà voilà. caractère → audacieux mais borné, attentif mais solitaire, indépendant mais secret, honnête mais cassant.
MILITARY DETACHMENT
soldat.
il est le genre de personne qui a beaucoup de qualités, mais toujours très bien cachées derrière de très gros défauts. ∞ il s'est rendu compte que les problèmes arrivent souvent quand on parle trop. depuis, il lui arrive de se barricader dans un drôle de mutisme pendant des jours. ∞ si son frère est et restera son modèle pour toujours, il s'est pourtant juré de ne jamais devenir comme lui. ∞ dégoûté par les gens en général, il est très secret et préfère largement la solitude à une quelconque présence humaine. ∞ il est tombé amoureux, un jour. il s'est promis que ça ne lui arriverait plus jamais. ∞ il est du genre à être toujours dissimulé dans le coin d'une pièce, à observer le monde autour de lui sans dire un mot. ∞ il connait les tics et habitudes de chaque personne qui l'entoure, il est très méticuleux et fait attention au moindre détail futile que personne d'autre ne connait. ∞ il déteste les zombies, évidemment. mais, contrairement à d'autres, il a appris à vivre avec. ∞ en fait il s'adapte assez rapidement à chaque situation. ∞ l'armée, c'est sa famille, la seule et unique et jamais il ne trahirait le moindre de ses coéquipiers. ∞ il peut citer à peu près chaque passage de tous les retour vers le futur, il a longtemps rêvé d'avoir les chaussures volantes de marty. ∞ il a tatoué les initiales de son frère à l'intérieur de son poignet, mais n'a jamais dit à quiconque la raison de son geste. ∞ il parle très peu de lui, mais pourrait écouter pendant des heures, et se révèle même être de très bon conseil, quand il le veut.
graham chance jewsbury
Luke, je suis ton père…
SAVE MY LIFE, PLEASE !
Le soleil termine sa course derrière les nuages et Graham soupire. S'occuper l'esprit pour ne pas laisser des idées sordides le prendre en otage, voilà sa devise. Il inspire une grande goulée d'air frais avant de recracher l'épaisse fumée blanche de sa cigarette. Y'a des moments comme celui-là où il voudrait hurler sa rage contre le monde, vomir à la gueule de cet univers pourri qui lui a infligé autant de merdes en si peu de temps. Il est si jeune et, bien souvent, il a l'impression bizarre que sa vie est terminée. Il pourrait bien crier mais, au fond, qui l'entendrait ? Y'a personne dans les environs mais, surtout, y'a personne autour de lui. Ça fait bien longtemps que c'est comme ça, et il a finit par accepter que sa seule amie ne serait toujours que la solitude. Son estomac brûle et il a envie de dégobiller son maigre repas - sa vie le dégoûte. L'humanité toute entière lui donne des envies de meurtres aussi brutales qu'atroces. Il n'est né ni à la bonne époque, ni sur la bonne planète. Et, le pire dans toute cette histoire, c'est qu'il n'a plus qu'à accepter cette vérité, et qu'à s'indigner devant l'impertinence de la vie.
#anecdote 1. « Tu le touches et je te fracasse la gueule en deux, je t'arrache les bras d'un coup sec et j'ouvre ton bide pour le donner à bouffer aux canards. » C'est lui, c'est son grand frère. Il partage son sang, sa famille et son histoire avec lui, mais souvent il a l'impression d'être à des années lumières de cette personne. Lui, le petit garçon maladroit, discret, presque timide et qui se fait casser la gueule à chaque fois qu’il traine un peu trop près du quartier voisin au sien. Lui qui n’a jamais appris qu’à marcher en fixant le sol, qui connait à présent par cœur la forme de ses propres chaussures, l’emplacement du moindre trou et la façon dont elles se sont décolorées avec le temps. Peur des autres, peur de la vie. Mais son frère, oh son frère il est si grand, si fort, et si… respecté. Il casse des gueules à chaque journée, traverse les rues les mains dans les poches, le dos droit et les yeux vers le ciel, comme si, finalement, il cherchait à resserrer les liens avec un quelconque être suprême. Son frère le badass, celui qui, jamais, ne se laisse marcher sur les pieds. Celui qui, encore une fois, vient de lui sauver la peau. « Ca va kid, relève-toi, il s’est barré en courant. J’parie qu’il est parti chialer dans les jupes de sa mère, cette espèce de mauviette. Il t’aurait pas touché t’façon, il pue la trouille et il est trop gros pour donner plus que des coups d’vent. » Graham relève les yeux sur son grand frère. Des petits yeux noyés de chagrin, et de douleur. De terreur aussi, à l’idée de n’être jamais rien de plus que lui-même. De pitié, quand il pense à la misérable image qu’il donne de lui-même à tous les autres. S’il pouvait être comme son frère, putain. Il crèverait pour devenir un peu de lui. Lui si fort, si sûr de lui, si méchant. Si parfait, finalement. Mais Graham n’est qu’une fourmi. Une minuscule fourmi au service de la reine des abeilles, son propre frère. Son modèle, son destin. Son pire ennemi, son poison.
#anecdote 2. Les yeux dans le vide, il observe la pourriture déposée sur le plafond un peu trop blanc de son immense chambre. Ça tourne un peu, parce qu’il n’a sûrement pas assez mangé pour ce qu’il a bu. Et les coups contre la porte retentissent dans sa tête, ça résonne et ça fait terriblement mal. Il a envie de hurler sa rage, mais ses poumons manquent d’air et il se surprend bloqué au milieu d’une atroce quinte de toux. Trop de nicotine, pense-t-il en étouffant un atroce rire. Il ferme les yeux et son cœur bat au rythme des coups contre le bois de la porte. Il n’a aucune envie de se lever ; ça fait trois jours que c’est comme ça. Il faudra bien, pourtant. Qu’il aille pisser, manger un truc, soulager ses poumons en inspirant un air pur et bien plus sain que celui dans lequel il nage. Misérable poisson prêt à se noyer d’une seconde à l’autre. Son univers le tue à petit feu et il se bouche les oreilles pour éviter une réalité qu’il connait par cœur. Et, d’un seul grand coup, la porte finit par s’ouvrir, lui brûlant la rétine au passage ; ça fait trois jours qu’il n’a pas vu la lumière de ce long mois d’août. « Yo Grammes, j’t’ai pas entendu m’dire de rentrer et j’avais pas capté qu’la porte était ouverte mais… » Il peut voir dans les yeux de son visiteur inopiné l’étonnement de découvrir un lieu aussi… Dégueulasse. Y’a pas de meilleur adjectif et, tandis qu’il s’avance doucement dans la pièce, Graham finit par ouvrir des yeux rouges vifs sur lui, avant de lui balancer d’une voix complètement brisée. « T’es à cours, c’est ça ? » Il ne lui a pas fallu plus de cinq secondes pour comprendre sa présence et, de toute façon, personne ne vient le voir pour d’autres raisons. Le visiteur tremblant se surprend à croiser son regard, l’espace d’un instant. « Ouais mec. Ça fait un bail qu’on t’a pas vu et c’est un peu la merde en ce moment, donc si tu pouvais m’dépanner ce serait c… » Graham se relève d’un seul grand coup et, tandis qu’il réalise la débilité de son geste, il se permet de dissimuler son malaise derrière un rictus énervé. « Ecoute gars, y’a pas que moi ici. Y’a des centaines d’autres gosses qui vendent la même merde que moi. Alors va défoncer une autre porte. » Aujourd’hui il a pas envie de s’prendre la tête, ni de négocier. Noyé sous un flot de reproches, il n’est plus capable d’entendre le camé qui lui parle de question de vie ou d’mort ; il n’en a ni la force, ni l’envie, ni le courage. « Ecoute gros camé, va chercher ta merde ailleurs, j’ai rien pour toi et j’aurais plus jamais rien pour ta sale gueule de gros drogué, maintenant tu dégages de chez-moi ou cette histoire s’terminera avec quelques coups d’pioche. J’te mets dans un trou j’en ai pas pour une journée et après t’es rayé d’la surface de la terre et on en parle plus. Mais j’ai la flemme, ça m’emmerde et tu m’emmerdes, alors dégage d’ici, va chialer ailleurs. » Et il ferme les yeux pour s’enfermer dans la quiétude la plus totale. Comme si ça lui suffisait, finalement. Un monde silencieux, calme, et vide de toute présence humaine. Mais avec un peu d’shit, si possible.
#anecdote 3. Les gouttes tombent les unes après les autres et les reniflements incessants du voisin lui filent la gerbe. Graham se racle la gorge, brisant le silence presque parfait de cet endroit bien glauque qu’il connait pourtant par cœur. Il pourrait compter les panneaux du plafond, calculer la taille en mètre carré de la cellule, imaginer mille et une techniques pour briser les barreaux et tenter de rayer le lit, mais tout ça, il l’a déjà fait. Il pourrait aussi penser aux raisons de sa présence ici, à comment s’améliorer ou bien encore réfléchir à ses actes comme lui a rabâché des tas de fois son psychologue. Mais il n’en a aucune envie ; en fait, il veut rien faire. Rien à part attendre. Ces barreaux lui donnent des envies d’évasion, de voyage, de découverte du monde – demain, il retournera s’enfermer chez-lui et se terrera dans son terrier jusqu’à la prochaine descente, la prochaine baston ou simplement la prochaine merde. Et, le pire c’est qu’il n’en a vraiment rien à foutre.
Les portes s’ouvrent sur une grande demoiselle. Elle a toujours l’air aussi énervée, à tel point qu’il s’éloigne, réflex pour éviter de s’en prendre une en pleine face. Mais elle ne dit rien, ni au moment où le flic lui apprend qu’elle a payé sa caution, et ni lorsqu’ils quittent ce malheureux poste de police, qu’il connait comme sa poche et mieux encore. Ce n’est qu’au moment de démarrer la voiture que ses yeux dans lesquels il s’est perdu bien des fois le fixent, le transpercent, le fusillent sur place. « T’es vraiment un gros connard, Graham. » Elle soupire et il sourit, il rit même, parce qu’elle ne changera jamais. Lui non plus. Et, clairement, c’est bien ça le problème. « Il paraît ouais, mais c’est un peu pour ça qu’tu m’aimes, hein. » Elle va le tuer, voilà ce qu’il peut lire dans ses yeux. Le pire, c’est que ça le dérangerait même pas plus que ça. « Si j’t’ai aimé c’était pas aujourd’hui en tout cas. Sérieusement hein, j’espère que tu grandiras. De tout mon cœur, c’est c’que je te souhaite. » Et elle démarre la voiture, dans le silence le plus troublant. Il tente d’allumer la radio, qu’elle éteint immédiatement. Alors il sifflote Roxanne de Police, comme si tout allait bien. Mais tout va bien, dans sa tête et rien ne changera jamais. D’un coup sec, il se voit projeter un peu trop près du pare-brise à son goût et, sans qu’il ne sache pour quelle raison, elle se gare sur le côté avant de planter ses yeux dans le sien. « T’es tout seul Jew’. C’est toi contre le reste du monde tu sais, et si tu te bouges pas le cul, tu finiras crevé dans un fossé avec personne pour te creuser un misérable trou. » Il sent son cœur exploser dans sa poitrine, parce qu’elle ne l’a pas dit avec une once d’énervement dans la voix. Au contraire, son ton, calme et plat, lui donne envie de se tirer une balle. Là, tout d’suite. « Fais pas comme ton frère, surtout pas. Rends-lui hommage en n’étant pas comme lui. Sinon tu finiras comme lui et on n’aura plus qu’à chanter à ton enterrement. » Qu’on en finisse. Et une larme glisse sur sa joue ; la première, et peut-être bien la dernière.
#anecdote 4. Il avait vu son visage et il s’était d’abord demandé ce qu’elle foutait là. Puis il avait compris, à force de la voir, de la revoir qu’elle n’avait rien d’une criminelle. Qu’elle, elle était du bon côté, du côté où tout va bien, du côté où t’as naturellement envie de rester. Sauf que lui, lui il était de l’autre, du mauvais, et elle ne l’avait jamais remarqué. En fait, il était persuadé qu’elle ne l’avait même jamais vu. Jamais un regard vers lui, comme si, de tout son être, cette nana faisait de son mieux pour ne surtout pas respirer le même air que lui. Malgré tout, pourtant, il avait été incapable d’expliquer pourquoi, à chaque fois qu’il se retrouvait en garde à vue, il attendait patiemment le moment où elle trainerait dans le coin.
Les yeux pleins d’une fureur incroyable, il tape de toutes ses forces sur un énorme punching-ball. Il a envie d’exploser, de crier que rien n’ira jamais, de se tirer une balle tout droit pile entre les deux yeux et de tirer dans la foule toute entière. Il a envie de tant de choses ; de faire exploser la terre entière, de faire la plus grosse prise d’otage du monde, de la récupérer, de la reprendre dans ses bras et de l’étouffer, de virer la putain d’odeur dégueulasse de son parfum qui a pris ses narines en otage, d’oublier son image et de la revoir. Il ignore, à ce moment précis ; que l’amour lui cerne le cœur, et qu’elle a changé sa vie. Que jamais il ne sera plus le même homme. Et que la terre finira par tourner dans l’autre sens.
#anecdote 5. « L’armée ? Sérieux, Graham, l’armée ? » Il savait qu’elle aurait cette réaction et, s’il aurait certainement dû se préparer à contourner le moindre de ses arguments, il avait préféré la laisser péter un câble. Elle finirait par accepter l’idée, parce qu’il avait pris sa décision et qu’elle s’en rendra vite compte. « Qui passe son temps à m’dire qu’un grand coup d’botte dans la gueule, ça me ferait du bien, hein ? » Il lui sourit, parce qu’il lui semble que c’est la meilleure idée qu’il ait jamais eu de sa vie. Là-bas, il deviendra fort, grand, et respecté. Il le sait ; il se fera marcher sur la gueule, mais il n’en deviendra que meilleur. Lui, le gamin de la cité qui a passé plus de temps au poste qu’à l’école, va enfin devenir... Important. « C’est moi qui vais t’exploser en deux, Jew’. » L’énervement s’entend dans sa voix, mais il peut aussi y lire de la déception. De la tristesse, peut-être ? Il a envie d’la prendre dans ses bras, mais c’est pas comme ça que ça s’passe entre eux et c’est bien mieux comme ça. « Tu m’fais peur t’as pas idée. Non sérieux, je pars pas pour toute la vie, je reviendrai t’emmerder avant que t’aies le temps de te réjouir de mon départ. » Il a envie de tasser les choses parce que dans sa tête, c’est pas grave. Il ne laisse rien ici ; rien, à part peut-être celle qui a toujours été là. Sa meilleure amie, sa sœur qui n’partage pas son sang, son coup d’foudre amical. « Je savais que j’aurais pas du t’prévenir, tu vas encore chialer et j’vais me sentir obligée de t’acheter un cadeau avant d’partir. » Il plaisante, parce que c’est plus facile que d’accepter la réalité. S’éloigner d’elle, c’est comme se faire arracher un bout du cœur et il sent déjà la blessure s’ouvrir à chaque seconde qui s’écoule. « Ta gueule, Grams’. » Son visage se détend, et il comprend alors que sa mission est réussie, et terminée. Bientôt l’heure de partir, merde. « Reviens en un seul morceau, c’est tout c’que je demande. Et fais pas trop de cochonneries dans les douches avec tous ces messieurs muscles. » Iron Man va prendre la route vers un monde qu’il imagine meilleur. L’armée, la discipline, la famille, le respect, la confiance. Des valeurs qu’il n’a jamais connu ni côtoyé. Des valeurs qui le rendront plus fort. Prêt à sauver le monde… Ou pas.
(1ooo) shake.
votre pays + j'habite en françaaaais (c) tom felton. fréquence de connexion + souvent. trop souvent... ? où as-tu découvert le forum + bazzart is a better friend than google. si quelque chose te dérange, on veut savoir : + un peu oui. ** disons que j'vous aurais bien donné l'âge, le nom de mon personnage et ajouté WALKER, mais j'ai pas trouvé où mettre ce fameux code de règlement fouettez-moi, il est tard. sors-tu de ta petite cervelle + je suis fabriqué made in mon imagination, eehoui maintenant tu peux te lâcher tout est permis + on va s'marrer les keupins, j'ai hâââte de défoncer du zombie !
Code:
[b]KIT HARINGTON[/b] ☞ [i]graham c. jewsbury[/i]
Dernière édition par Graham C. Jewsbury le Mar 10 Juin - 12:38, édité 2 fois
C. Castiel-Ekho Gallagher
Will you just wait until I die
→ Rôdeurs tués : 991 → Age : vingt-trois ans. → Humeur du moment : une envie de tuer du rôdeur. → Camp de survie : la contrainte me pousse à rester au refuge. bien que l'envie serait de partir.
Sujet: Re: ❝ Un jour viendra, nous aurons des rêves à nouveau. ❞ Ven 6 Juin - 21:27
BIENVENUE j'ai le droit de te violer sur place c'est moi qu'on doit fouetter, j'ai oublier de le mettre. merci, j'ai rajouté dans la fiche ^^ bonne chance pour ta fiche & n'hésite pas si tu as des questions.
Graham C. Jewsbury
un petit trésor à l'état pur
→ Rôdeurs tués : 16 → Age : vingt-neuf ans.
Sujet: Re: ❝ Un jour viendra, nous aurons des rêves à nouveau. ❞ Sam 7 Juin - 10:44
oh bah t'as tous les droits voyons et du coup compte sur moi pour te fouetter hein, ta faute est impardonnable mais merci bb, je crois que je vais pas tarder à te harceler de questions d'ailleurs !
C. Castiel-Ekho Gallagher
Will you just wait until I die
→ Rôdeurs tués : 991 → Age : vingt-trois ans. → Humeur du moment : une envie de tuer du rôdeur. → Camp de survie : la contrainte me pousse à rester au refuge. bien que l'envie serait de partir.
Sujet: Re: ❝ Un jour viendra, nous aurons des rêves à nouveau. ❞ Mar 10 Juin - 14:49
félicitations...
maintenant on ne rigole plus. vous allez être propulsé parmi les zombies. vous pensiez que c'était le pays des bisounours. on ne va pas être affreux. on accepte que vous soyez entouré d'amis et d'ennemis ; alors on lâche ses armes quelques instants et on file par ICI. ne prenez pas vos jambes à votre cou, vous avez encore pleins de des choses à faire. c'est beau de faire partit d'un groupe seulement il faut être capable de servir à QUELQUE CHOSE. c'est vrai, il y a plus de zombies que d'êtres humains. mais n'oublions pas qu'à plusieurs, on est plus fort. on opte pour le GENRE HUMAIN. tout est bientôt terminé.
un peu de promotion pour ne pas finir seul au monde. imaginez que c'est un zombie et qu'il faut l'abattre. seulement, là c'est avec des messages donc on mitraille BAZZART de messages. et on vote, vote sur le TOP-SITE. vous arrivez au bout du message en espérant que ce n'était pas un calvaire.
BONNE CHANCE POUR RESTER EN VIE LE PLUS LONGTEMPS
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: ❝ Un jour viendra, nous aurons des rêves à nouveau. ❞
❝ Un jour viendra, nous aurons des rêves à nouveau. ❞
Accueil 
où as-tu découvert le forum + bazzart is a better friend than google. si quelque chose te dérange, on veut savoir : + un peu oui. ** disons que j'vous aurais bien donné l'âge, le nom de mon personnage et ajouté WALKER, mais j'ai pas trouvé où mettre ce fameux code de règlement 
fouettez-moi, il est tard. 
sors-tu de ta petite cervelle + je suis fabriqué made in mon imagination, eehoui maintenant tu peux te lâcher tout est permis + on va s'marrer les keupins, j'ai hâââte de défoncer du zombie ! 
