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Ryan L. Woodward
Ryan L. Woodward
un petit trésor à l'état pur

→ Rôdeurs tués : 25
→ Age : vingt-neuf ans
→ Camp de survie : the refuge

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MessageSujet: wear your flaws upon your sleeve.     wear your flaws upon your sleeve.  EmptyVen 6 Juin - 21:47

surnom → à vrai dire, si ce n'est les quelques personnes qui préfèrent utiliser 'woodward' que son prénom de quatre lettres, les surnoms se font plutôt rares pour ryan. âge →  vingt-neuf ans, née un dix-huit de juin, en même temps que les fleurs. lieu de naissance → washington d.c., qu'elle a quitté pour aller s'installer à dallas, texas.nationalité → américaines, même si son grand-père était espagnol. situation amoureuse →  mariée, même si ce n'est pas tout beau tout rose en ce moment.  ancien métier →  flic, comme son père, qui l'était comme son grand-père. c'est un truc de famille chez eux. caractère → responsable, débrouillarde, amicale et boute en train, mais autoritaire, exigeante, suspicieuse et orgueilleuse.

THE REFUGE

Les protecteurs
on peut croire, aux premiers abords, qu'elle est une personne dure, mais les apparences sont souvent trompeuses. ∞ elle fait genre qu'elle n'a peur de rien, mais c'est le plus gros mensonge qu'elle profère. ∞ les autres ont toujours passés avant elle, créer des sourires et savoir que tout le monde est en sécurité la rassure énormément. ∞ elle a toujours sût qu'elle travaillerait chez les flics, c'est une tradition chez les woodward. ∞ elle est enfant unique, mais elle était toujours bien entourée; aller vers les autres est facile et des amis, ce n'est pas ce qu'il lui manque ∞ le jus d'orange est son péché mignon. ∞ ses décisions sont souvent prises par les autres, elle a toujours fait ce que ses parents lui demandaient, d'aussi loin qu'elle se souvienne. ∞ lorsqu'elle travaillait, c'était comme si elle actait, les gens la prenaient vite au sérieux. ∞ le commissariat de son père, c'était sa deuxième maison quand elle était gosse. ∞ les biscuits au citron de sa mère sont son second péché mignon. ∞ elle s'est fiancée à l'âge de vingt-deux ans et mariée à l'âge de vingt-quatre ans. ∞ elle est déménagée à dallas pour rejoindre son fiancé. ∞ la chaleur du texas ne lui a jamais vraiment plu, ni les esprits fermés qui se trouvaient partout. ∞ sa relation avec ses voisins était à peu près aussi fausse que les plantes de cette vieille hatkins. ∞ elle avait à peu près la vie américaine parfaite, le chien, le mari, la maison, même le jardin. ∞ son mari voulait des gosses, elle aurait probablement dit oui si l'apocalypse n'avait pas eu lieu. ∞ elle a été amoureuse, mais ce n'était pas de son mari. ∞ lorsqu'elle a rejoint le refuge, elle a tout de suite voulu prendre des responsabilités; rester en place lui semblait impossible. ∞ les zombies ne la terrifie pas plus que tous les connards qu'elle a vu à travers sa carrière, enfin, c'est ce qu'elle dit. ∞ elle préfère écouter sa tête que son coeur.


ryan lucie woodward
if they don't like what i am, they can piss off

SAVE MY LIFE, PLEASE !
Des ruines. Un monde sans dessus dessous, qui se laissait aller à une inévitable fin. Il n’y a pas de commencement sans qu’il n’y ait de fin, le vieil adage le savait. Ryan, du haut de ses vingt-neuf années, les épaules endurcies d’un passé juste assez ordinaire pour ne pas trop l’être, elle avait des questions sans réponses et des réponses à des questions inexistantes. Elle se tenait toute droite, tous les jours, se battant contre l’inévitable. L’impossible est possible lorsqu’on y croit. Ils avaient laissé, à travers les filets d’une réalité noircie et terrifiante, des rêves et espoirs qu’ils leur étaient désormais interdits. Certains disaient que ce n’était que passager, mais il suffisait d’un regard vers les abîmes de leur précédente ville pour savoir que plus rien ne serait jamais comme avant. Et lorsque rien n’était plus comme il l’était, quoi faire d’autre que d’effacer un passé inutile et repartir à zéro? Ryan n’était plus que le fantôme de ce qu’elle avait été, le départ de la parfaite jeune femme, pour ne plus trouver que celle avec le cœur sur la main et une haine qu’elle ne s’était jamais connue. Le passé est passé, mais il laisse ses traces.

Une enfance ordinaire, une vie qui tournait dans le bon sens. Rien n’avait jamais tourné dans le mauvais sens dans sa vie. Habituée à écouter, elle faisait ce qu’on lui demandait sans se poser de questions. Du caractère, elle en avait, mais elle le cachait sous des airs d’un ange enfantin. Elle allait vers la facilité, instinctivement, cherchant à plaire plutôt qu’à déplaire. Elle connaissait les regards de déception, ils la terrifiaient. Ils étaient comme des coups, des rappels qu’elle n’était pas le garçon souhaité et qu’il n’y aurait jamais d’autres enfants après elle. Ryan, jolie Ryan. Elle était la gosse parfaite. Sage comme une image. Elle faisait du sport, cela plaisait à son père. Elle apprenait le piano, cela plaisait à sa mère. Elle souriait lorsqu’on la regardait. Tu es plus belle lorsque tu souris, qu’on lui disait. Elle avait des bonnes notes, mais jamais assez bonnes à ses yeux. Une poupée, laissé à l’usage des autres, c’était plus facile. Elle grandit comme ça, sous les ordres de ses parents, qui se narguaient qu’ils avaient une enfant merveilleuse. N’était-elle pas parfaite? Une image, comme toujours. Les images avaient pris le contrôle de sa jeune vie, venant la laisser à bout de souffle, préoccupée, anxieuse, mais souriante, toujours souriante. Ryan vivait les expectations des autres. La solitude était son ennemie, laissée seule à elle-même. Elle s’était trop oubliée pour se connaitre.
Devenir comme son père, c’était un peu ce qu’elle faisait. Policière, tu seras policière, qu’il lui disait, tandis qu’il enfilait son propre uniforme. Ryan n’était pas malheureuse de cette obligation, au contraire. Elle aimait le métier, la fierté de l’uniforme, le savoir qu’elle aidait les autres. Elle suivit des pas tracés par plusieurs générations, y ajoutant la trace de ses propres bottes. À peine 15 ans qu’elle s’entrainait déjà avec son père, puis seule. La routine était ancrée dans ses veines, s’accrochant désespérément à chacun de ses mouvements. 6h du matin, debout, jogging, douche, petit-déjeuner, cours, et tout continuait ainsi. Chaque jour, elle passait au commissariat, allait s’asseoir dans le bureau de son père et travaillait sur ses travaux scolaires. Elle s’imprégnait de l’ambiance qu’elle avait appris à aimer après toutes ces années. Ici, c’était comme une deuxième maison. Elle adorait les heures passées entourées de ces gens qu’elle avait toujours connu, certains qui l’avaient vu grandir. Une deuxième famille. Elle se sentait un peu plus elle-même ici qu’ailleurs. Peut-être que cela voulait tout dire. C’est à cet endroit qu’elle comprit qui elle était vraiment, et c’est aussi là qu’elle se perdit un peu plus. Il était beau, bien sûr qu’il l’était. Et elle était amoureuse. L’amour, ça change les gens, à ce qu’on dit. Ryan, elle sentait qu’elle pouvait être qui elle voulait lorsqu’elle était avec lui. Il était le seul qui ne lui avait jamais rien demandé et, pour la première fois, elle aimait prendre ses propres décisions. Ce fut un secret, avant d’être une vérité, puis une réalité. Mais il n’était pas le gendre idéal, il ne convenait pas à cette vie parfaite qu’elle menait depuis déjà tant d’années. Il était tout le contraire, il était délit et crime. Ils étaient nuit et jour. Ryan, elle avait construit un empire avec des cailloux qu’elle avait emprunté et il était trop tard pour les rendre. Les regards de déception étaient plus forts encore qu’auparavant, les soupirs, les regrets dans les traits tirés de ses parents fatigués. Jamais elle n’avait été un problème et l’ignorance de comment réagir la terrifiait.
Même l’amour ne suffisait plus, même les sourires inconscients et les mains moites, le cœur battant et la légèreté d’un besoin sans souci. La raison avait eu raison du cœur, les larmes qui mouillaient ses joues un secret avec elle-même. Ses parents avaient choisi pour elle et Ryan n’avait jamais appris à se battre pour ses propres choix. Elle savait seulement comment perdre. Des années qui s’étouffaient et une porte qui se fermait, c’était comme si elle fuyait. Elle fuyait, elle partait, avec un autre homme qu’elle n’aimait pas, mais qui plaisait. Un murmure d'une excuse sur ses lèvres, tandis qu'elle regardait une dernière fois un homme qu'elle ne croyait jamais revoir. Ryan n’avait jamais été qu’une image, de toute façon, il était trop tard pour sortir du cadre.

C’était une vie ordinaire, qui s’ensuivit, le genre qui laissait les prénoms tombés dans l’oubli, après que les cheveux soient devenus gris et que la vie s’en est enfui. Un mariage, une jolie robe blanche, un grand sourire, tandis qu’elle liait son destin à un homme qui laissait ses mains sèches et son cœur tranquille. À quelque part, elle l’aimait, mais du genre d’amour qui ne donne pas d’ailes. Ils étaient beaux, ce jour-là, et ils continuèrent à l’être, dans le futur, tandis que son boulot de policière devenait la chose la plus importante dans sa vie. Elle était vraiment devenue comme son père. Elle rentrait à la maison le soir, elle s’enfuyait à travers des conversations anodines, parfois elle avait simplement besoin d'oublier ses journées plus difficiles. Elle s’était oubliée à nouveau. L’adrénaline de quelques aventures était l’essence de ce qu’il lui restait, tandis que ses mains s’enroulaient autour d’une arme et qu’elle gardait son calme. Ryan avait des années derrière elle d’expérience pour garder son calme. Elle ne vivait plus vraiment que pour son travail, le reste n’était qu’un détail, une vie qu’elle préférait oublier. Les regrets de ce qui aurait pu arriver la laissait avec un goût amer et un savoir que rien d’autre ne changerait plus. Son père laissa sa vie au creux de son boulot, tandis qu'une fusillade faisait rage à Washington. Elle pleura, puis elle comprit que c'était probablement le genre de départ qu'il souhaitait. À quelque part, c'était peut-être ce qu'elle souhaitait aussi.

Mais la vie décida autrement. Les premières contaminations n’étaient, aux yeux de Ryan, qu’une blague de mauvais goût, mais des preuves s’en suivirent, des vérités qui ne faisaient pas de sens. Elle n’en croyait pas ses yeux, mais c’était avant qu’elle se retrouve à essayer de se battre, à protéger sa maigre famille. Sa mère, elle n'eut plus jamais de nouvelles. Tout ce qu’elle savait, c’était que son mari allait bien, qu’elle aussi. Elle perdit des amis, bien entendu, tout le monde en perdit. Les mois passaient trop vite et pas assez, chaque nouvelle journée était une surprise d’être encore en vie. Lorsqu’elle tombait endormie, elle se demandait si ce n’était pas la dernière fois. Elle n’avait pas attendu une seconde pour rejoindre le refuge, persuadée que l’on était plus fort à plusieurs que seul. Ses instincts affûtés, à travers toutes ses années dans les forces de l’ordre, la poussèrent à se joindre aux protecteurs. C’était un devoir, un besoin même. Elle devait s’occuper, et elle était douée là-dedans. Il lui semblait plus facile de travailler pour les autres, de les protéger. Elle ne supportait pas tout ce désespoir. Les zombies la terrifiaient. Chaque rencontre avec l’un d’eux était un cauchemar de plus, tandis que d’autres souvenirs lugubres refaisaient surface en même temps. Ryan avait connu la violence, mais jamais comme aujourd’hui. Et si elle était plus perdue qu’elle ne le laissait le paraître, elle se demandait bien s’ils avaient vraiment des chances de s’en sortir vivants. La peur avait un goût acide qui lui restait constamment dans la bouche. Elle était effrayée, tandis que le désespoir amenaient certains au bord du gouffre. Ryan n'avait plus rien, si ce n'était qu'une maigre image difficile à tenir, une colère contre ses monstres qui avaient tout détruits et un besoin de protéger. Elle dévouerait sa vie aux autres jusqu'à la fin, elle s'en était fait une promesse.


audrey
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votre pays + canada. fréquence de connexion + cinq sur sept. où  as-tu découvert le forum + graham(crackers). si quelque chose te dérange, on veut savoir : + tout va pour l'instant, les amis, mais je vous sonnerai s'il y a un problème. I love yousors-tu de ta petite cervelle + (x) je suis fabriqué made in mon imagination pour rentrer le mot de passe, non c'est une blague + 29, ryan & WALKER.maintenant tu peux te lâcher tout est permis + on leur bouffe la cervelle quand, aux zombies ?   wear your flaws upon your sleeve.  407633263 

Code:
[b]TATIANA MASLANY[/b] ☞ [i]ryan l. woodward[/i]


Dernière édition par Ryan L. Woodward le Dim 8 Juin - 14:31, édité 7 fois
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→ Camp de survie : la contrainte me pousse à rester au refuge. bien que l'envie serait de partir.

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MessageSujet: Re: wear your flaws upon your sleeve.     wear your flaws upon your sleeve.  EmptyVen 6 Juin - 21:50

BIENVENUE   wear your flaws upon your sleeve.  199575006  wear your flaws upon your sleeve.  4197509924  wear your flaws upon your sleeve.  2343786649 
excellent choix, elle est tout chou.
bonne chance pour ta fiche. si tu as des questions, n'hésite pas.
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MessageSujet: Re: wear your flaws upon your sleeve.     wear your flaws upon your sleeve.  EmptyDim 8 Juin - 14:40

merci, hihi.  wear your flaws upon your sleeve.  388342071 I love you 
je n'hésiterai pas si j'ai des questions.   wear your flaws upon your sleeve.  1468157981 
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MessageSujet: Re: wear your flaws upon your sleeve.     wear your flaws upon your sleeve.  EmptyDim 8 Juin - 16:02

félicitations...
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maintenant on ne rigole plus. vous allez être propulsé parmi les zombies. vous pensiez que c'était le pays des bisounours. on ne va pas être affreux. on accepte que vous soyez entouré d'amis et d'ennemis ; alors on lâche ses armes quelques instants et on file par ICI. ne prenez pas vos jambes à votre cou, vous avez encore pleins de des choses à faire. c'est beau de faire partit d'un groupe seulement il faut être capable de servir à QUELQUE CHOSE. c'est vrai, il y a plus de zombies que d'êtres humains. mais n'oublions pas qu'à plusieurs, on est plus fort. on opte pour le GENRE HUMAIN. tout est bientôt terminé.

un peu de promotion pour ne pas finir seul au monde. imaginez que c'est un zombie et qu'il faut l'abattre. seulement, là c'est avec des messages donc on mitraille BAZZART de messages. et on vote, vote sur le TOP-SITE. vous arrivez au bout du message en espérant que ce n'était pas un calvaire.

BONNE CHANCE POUR RESTER EN VIE LE PLUS LONGTEMPS  wear your flaws upon your sleeve.  2845350077


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MessageSujet: Re: wear your flaws upon your sleeve.     wear your flaws upon your sleeve.  Empty

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