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 On oublie souvent que l'essentiel est sous notre nez. [Jake M. Sullivan]

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AuteurMessage
Jake M. Sullivan
Jake M. Sullivan
un petit trésor à l'état pur

→ Rôdeurs tués : 18
→ Age : 31 ans
→ Humeur du moment : Culpabilise toujours pour la mort de sa femme.
→ Camp de survie : THE REFUGE

On oublie souvent que l'essentiel est sous notre nez. [Jake M. Sullivan] Empty
MessageSujet: On oublie souvent que l'essentiel est sous notre nez. [Jake M. Sullivan]   On oublie souvent que l'essentiel est sous notre nez. [Jake M. Sullivan] EmptyLun 23 Juin - 12:50

surnom → Tout le monde l'appelle par son prénom, Jake. âge →  31 ans. lieu de naissance → Los Angeles. nationalité → Américain. situation amoureuse →  Veuf. ancien métier →  Militaire pendant deux ans lorsqu'il était jeune (il conserve un pistolet de cette époque) mais surtout chirurgien de renommée nationale. caractère → Surdoué - Patient - Doux - Optimiste en tout ce qui concerne une guérison potentielle - Responsable - Rêveur - Impartial - Loyal - Compréhensif - Courageux - Rancunier (il en veut toujours au gouvernement pour sa femme) - Secret - A l'écoute - Juste.  

THE REFUGE

Doc'
Jake déteste qu'on l'appelle Matthew, la seule qui le faisait étant sa femme. ∞ Il a dû lui-même tuer sa femme après sa contamination. ∞ Il ne se l'est jamais pardonné ∞ Jake possède un chat nommé Greyz qu'il avait offert à sa femme il y a quelques années. ∞ Jake possède un Q.I. de 169 ce qui fait de lui un haut potentiel. ∞ Il a participé à un programme de recherches sur l'élaboration d'un vaccin et a conservé toutes ses recherches après son départ. ∞ Il n'en a jamais parlé à personne. ∞ Jake était l'un des meilleurs chirurgiens des Etats Unis, ce qui fait de lui un médecin hors pairs.  


Jake Matthew Sullivan
une phrase de citation.

SAVE MY LIFE, PLEASE !
Martha,

Cela fera bientôt deux mois que tu es morte et je ne peux m'empêcher de penser que c'est ma faute. Je me dis que si tu ne m'avais pas épousé moi, Jake Sullivan, tu serais encore parmi nous. Et si j'avais la possibilité de remonter le temps, je t'empêcherai de me rencontrer même si ce serait me détruire plus encore que je ne le suis aujourd'hui de te laisser partir...
Je te dois aujourd'hui la vérité. Il est temps que je t'explique pourquoi tu es morte. Il est temps que tu comprennes pourquoi je t'ai tuée. Peut-être est-ce sûrement déjà trop tard, non il est même clair que c'est déjà trop tard. Tes cendres voguent à présent au dessus de l'océan vers des terres peut-être plus accueillantes, toi qui aimais tant la France... Je n'ai jamais pu t'y emmener, finalement. Je m'en veux terriblement pour cela aussi. Je m'en veux de t'avoir poussée à accepter en même temps que moi cette proposition pour ta propre sécurité. Ta propre sécurité... Tu parles. Ça n'aura servi à rien. Un peu comme tout ce que j'ai tenté une fois là-bas. Aujourd'hui, de toi, il ne me reste que notre chat, ce bon vieux Greyz qui semble si compréhensif face à ma peine...
Mais je m'égare et ne t'explique toujours pas pourquoi tout ça est survenu. Je m'égare, je crois, parce que ces mots, chacun de ces mots que j'écris sûrement pour du vent, sont pour moi autant de poignards s'enfonçant dans mon cœur malade... J'ai la gorge serrée, là. J'ai mal et les larmes menacent de me noyer sous leur flot incontrôlable. Mais je refuse de n'en verser ne serait-ce qu'une seule avant la fin de cette lettre sans destinataire. Je te dois la vérité, tu l'attends sûrement depuis trop longtemps...
Mon cœur se serre à l'idée de tout t'avouer, enfin. Mais je me dis que peut être, une fois que tu seras au courant, quelqu'un viendra m'assassiner pour t'avoir tout raconté. Et alors, nous serons enfin ensemble... Ô mon amour, ma vie sans toi me semble de plus en plus insipide, si seulement tu savais...
Tout a commencé il y a quelques mois. J'avais su me faire connaître dans tout le pays pour mes méthodes révolutionnaires de guérison et les patients se bousculaient à ma porte. Mais tout ça Martha, tu le sais déjà. Malgré la charge de travail qui était la mienne, tu te montrais toujours d'une patience d'ange avec moi, et tu m'attendais. J'aurais voulu que tu ne m'attendes pas si longtemps, aujourd'hui, je sais désormais qu'il aurait mieux valu que tu te lasses avant qu'il ne soit trop tard. Mais c'est déjà trop tard à présent... Un jour j'ai reçu un appel, tu sais, dans ce bureau que je m'étais attribué chez nous et que tu détestais tant. Tu disais toujours qu'il me monopolisait et que parfois, tu avais davantage l'impression que j'étais marié à lui plutôt qu'à toi. Bien sûr, tu disais ça en riant, mais j'aurais tellement souhaité pouvoir faire plus attention à toi, enfin comprendre la chance que j'avais de t'avoir... Mais quelqu'un a dit un jour que l'on ne comprenait cette chance qu'une fois qu'on l'avait laissée filer. Je t'ai laissée filer à la manière d'une étoile, si brève et si intense qu'on manque de temps pour la regarder attentivement mais qui laisse un souvenir inoubliable, gravé à jamais sur la rétine. Je le regrette aujourd'hui. Et jamais je ne me le pardonnerai.  Tu sais qu'au moment où le téléphone a sonné, tu m'as appelé pour venir manger ? Tu prenais toujours tant de temps à cuisiner, et tu cuisinais toujours si bien... Je me rends compte de tant de choses maintenant que tu n'es plus là, mais aujourd'hui tout ça n'est plus qu'un vaste souvenir portant ton nom... Et à mon habitude, j'ai privilégié mon travail à toi. Pourtant, je t'aimais comme un fou, ça, tu le sais. Mais je voulais tellement que tu sois fière de moi que j'ai fini par perdre l'essentiel... Ce soir-là ce n'était pas l'hôpital qui m'appelait. Je t'ai fait croire que si, que j'étais muté à Washington, mais ce n'était qu'un vaste mensonge. Ce soir-là, ceux qui m'ont appelé se sont présentés comme des membres du gouvernement. Ils m'ont alors expliqué qu'ils avaient besoin de moi et que je faisais partie des plus hauts potentiels du monde avec ce Q.I. Fabuleux qui était le mien. Je me souviens avoir ri. Tout ce qui comptait à mes yeux à l'époque, c'était d'être reconnu pour ce que j'étais et ce jour arrivait enfin. Mais ce que j'ignorais, c'est qu'il n'y avait que ton avis qui comptait véritablement à mes yeux... Ils m'ont ensuite raconté que j'avais été sélectionné pour participer à l'élaboration d'un vaccin. Un vaccin top secret, dont je ne devais parler à personne. À cette époque le virus n'en était qu'à ses balbutiements, il n'y avait encore que quelques cas recensés : pour les services secrets : il y en avait vingt et un. Pour le reste du monde il n'y en avait que trois. Je me suis inquiété. J'ai demandé si ce fameux virus qu'ils évoquaient était dangereux, je n'avais pas suivi les infos et n'avais jamais été capable d'entendre tes inquiétudes à propos de ce virus : j'étais l'un des meilleurs médecins des Etats Unis et le fait que tu t'inquiètes me dépassait. Je pensais être capable de te guérir. Ils m'ont répondu que c'était pire que ce que je pouvais imaginer : il était mortel et surtout hautement contagieux. Dans le plus grand secret on avait d'ailleurs commencé à vider le couloir de la mort, les condamnés devenant nos cobayes. Une autre façon de leur donner la mort, en somme. Quand on m'a dit qu'ils avaient les moyens de veiller à ma sécurité, à ta sécurité également, j'ai accepté. Je n'aurais pas dû. Mais j'étais tellement fier d'être enfin reconnu pour ce que j'étais... Tellement fier et tellement orgueilleux de penser que j'avais les capacités d'élaborer ce traitement... Quel idiot j'étais alors. Oh oui, quel idiot...
Evidemment, je n'étais pas seul sur le projet. Et après plus d'une demie heure d'explications, j'ai accepté. Ils m'ont demandé de partir cette nuit. Et là encore, j'ai accepté. Nous n'avons jamais mangé le repas que tu avais passé tant de temps à préparer ce soir-là. Et pourtant j'aurais dû. Car ce fut le dernier que tu eus l'occasion de préparer.
Nous avons fait nos valises dans la précipitation. Nous n'avons emporté que l'essentiel, ils m'avaient promis que nous aurions tout à disposition une fois là-bas. Je les ai cru. Je n'aurais pas dû. Ils n'ont pas su nous offrir la sécurité qu'ils m'avaient promis. Ils n'ont pas su te protéger. Je n'ai pas su te protéger. Tu as emporté Greyz, aussi. Et si à l'époque j'ai ronchonné en prétendant qu'il pourrait nous rejoindre plus tard je suis maintenant heureux que tu l'aies emporté. Car aujourd'hui il est tout ce qu'il me reste de toi. Nous avons voyagé toute la nuit. Tu as dormi pendant la moitié du trajet. Moi, j'ai conduit la tête pleine de questions, inquiet pour notre avenir. Mais je me disais que là où nous allions, tu serais en sécurité...
Lorsque nous sommes arrivés, il était cinq heures du matin. Tu as baillé, m'a embrassé pour me féliciter de nouveau pour cette merveilleuse promotion. Comme d'habitude, tu n'avais pas tiqué lorsque je t'avais demandé de me suivre si loin de la vie que tu menais. Tu étais toujours si patiente avec moi... On nous a immédiatement fait descendre sous terre. J'ai bien vu que tu ne comprenais pas pourquoi nous devions vivre dans un bunker, loin de tout ce que tu avais connu. Adieu la cuisine, adieu la végétation, adieu les problèmes de circulation. Non, tout ce que tu avais à faire était lire, regarder la télé ou dormir. Ta vie était devenue le prolongement de la mienne : tu ne vivais vraiment qu'à l'heure où je rentrais. Mais là encore, tu n'as rien dit. Pire encore, tu as continué à t'offrir à moi et à m'aimer comme une folle. Nous étions mariés et pour toi c'était pour l'éternité.
Au début, ça a été un peu difficile. Mais très vite s'est installée une routine qu'aucun de nous n'a critiqué. Moi je découvrais chaque jour un peu plus l'horreur de ce virus face à nos expérimentations. On détruisait la santé d'être humains non contaminés et on ne les exécutait pas immédiatement. On faisait tout d'abord toute une série de tests sur leur organisme et c'est comme ça qu'on a compris toutes ces choses : ils n'avaient pas besoin de manger mais en ressentait une envie irrépressible. Ils ne respiraient pas non plus, ils étaient comme des automates de destructions. Certains de mes collègues ont pété les plombs en prétendant qu'il s'agissait de l'avenir de l'humanité. Moi j'ai toujours cru que c'était une expérience ratée du gouvernement. Mais évidemment, je n'ai jamais rien dit. Tu n'as jamais été au courant de ce que je faisais. C'est à peine si je te racontais que je faisais des recherches : je n'en avais pas le droit. Tu n'as rencontré l'un des contaminés qu'une seule fois : ce fut également la dernière.
Au fond de moi, j'ai toujours su qu'un drame surviendrait un jour ou l'autre. La sécurité n'était pas idéale : nous approchions certains contaminés de très près, seulement une heure avant leur mutation que nous avions estimé à 24h après morsure. Ce jour-là, nous l'avons approché à 23h post-morsure. Nous n'aurions pas dû. Il s'agissait d'une femme frêle et visiblement de constitution fragile. Le virus s'est répandu d'autant plus vite dans son sang et elle est parvenue à s'échapper. Elle s'est directement rendue vers le quartier résidentiel. J'ai pensé directement à toi à ce moment là et je me suis mêlé au petit groupe de gardes qui la poursuivaient. Et quand nous sommes arrivés à proximité du quartier résidentiel, c'est là que je t'ai vue. Tu m'as vu aussi et tu as couru vers moi, comme pour m'annoncer une merveilleuse nouvelle. Je l'ai vue également : Elle s'est précipitée vers toi. Tu n'étais pas protégée et donc vulnérable. Et au moment où elle s'est jetée sur toi, j'ai enfin compris ce que tu articulais de si loin. Tu as hurlé que tu étais enceinte. Un des gardes a réussi à éliminer la menace presque immédiatement après. Mais c'était déjà trop tard : elle t'avait mordue.
Je me suis alors souvenu de toutes ces fois où je répondais à tes angoisses en te disant que je serais capable de te soigner n'importe quand et surtout de n'importe quoi. Crois-moi, j'ai essayé. J'ai empêché tout le monde de t'approcher et j'ai dissimulé ta morsure afin qu'ils ne te tuent pas sur le champ. J'ai tout essayé, vraiment. J'ai travaillé d’arrache-pied jusqu'à tomber d'épuisement. Durant les vingt trois heures ayant précédé celle tant redoutée, j'ai découvert de nombreuses pistes. Je crois même que si j'avais eu plus de temps, j'aurais pu élaborer ce fameux vaccin. Mais mon temps, ton temps était écoulé. Et j'ai fini par te rejoindre. Quand je suis arrivé tu étais déjà incohérente. Tu ne m'as pas reconnu. Je me souviens ne plus avoir réussi à discerner ton visage sous les flots de larmes qui recouvraient le mieux. Je n'ai même pas pu t'embrasser. Tu étais devenue trop contagieuse et dangereuse pour le reste du monde... J'ai passé la main sur tes cheveux, je t'ai tout de même embrassé le front. Puis j'ai tiré. Je t'ai tuée ce jour-là. Il me semblait inconcevable de pouvoir te laisser définitivement muter. Ça m'était impossible. Dans tes yeux j'ai lu la surprise. Puis plus rien.
Je ne m'en suis jamais remis. Après ça j'ai pris mes recherches, toutes ces recherches et en particulier celles de ton dernier jour, quelques vêtements et Greyz. Puis je suis parti. J'ai roulé toute la journée à la recherche d'un endroit où aller. J'étais incohérent, et je ne sais toujours pas pourquoi j'ai choisi Kansas City... Toujours est-il qu'aujourd'hui, je tente moi aussi de survivre dans un univers d'une hostilité alarmante. Je suis redevenu ce médecin que tu chérissais tant. Je sauve des vies, j'écoute ceux qui en ont besoin et je fais ce que j'aurais voulu faire pour toi, je les rassure. Toutefois je n'ai jamais parlé de mes recherches à personne. De toute façon, à quoi bon ? Tu n'es plus là pour le recevoir, ce vaccin...
Anthinéa
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votre pays + France. fréquence de connexion + Variable mais souvent un peu toute la semaine. où  as-tu découvert le forum + Via votre partenariat avec Cold Coffee. si quelque chose te dérange, on veut savoir : + Rien pour l'instant. sors-tu de ta petite cervelle + (X) je suis fabriqué made in mon imagination () je suis un joli pv () je suis la création de la folie de quelqu'un pour rentrer le mot de passe, non c'est une blague + 31 ans Jake WALKER.maintenant tu peux te lâcher tout est permis + Superbe forum où j'espère trouver ma place et m'amuser !

Code:
[b]MATT BOMER[/b] ☞ [i]jake m. sullivan[/i]


Dernière édition par Jake M. Sullivan le Lun 23 Juin - 13:20, édité 1 fois
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C. Castiel-Ekho Gallagher
C. Castiel-Ekho Gallagher
Will you just wait until I die

→ Rôdeurs tués : 991
→ Age : vingt-trois ans.
→ Humeur du moment : une envie de tuer du rôdeur.
→ Camp de survie : la contrainte me pousse à rester au refuge. bien que l'envie serait de partir.

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MessageSujet: Re: On oublie souvent que l'essentiel est sous notre nez. [Jake M. Sullivan]   On oublie souvent que l'essentiel est sous notre nez. [Jake M. Sullivan] EmptyLun 23 Juin - 13:16

félicitations...
On oublie souvent que l'essentiel est sous notre nez. [Jake M. Sullivan] Tumblr_n6penfYQ9j1so0s3vo2_500


maintenant on ne rigole plus. vous allez être propulsé parmi les zombies. vous pensiez que c'était le pays des bisounours. on ne va pas être affreux. on accepte que vous soyez entouré d'amis et d'ennemis ; alors on lâche ses armes quelques instants et on file par ICI. ne prenez pas vos jambes à votre cou, vous avez encore pleins de des choses à faire. c'est beau de faire partit d'un groupe seulement il faut être capable de servir à QUELQUE CHOSE. c'est vrai, il y a plus de zombies que d'êtres humains. mais n'oublions pas qu'à plusieurs, on est plus fort. on opte pour le GENRE HUMAIN. tout est bientôt terminé.

un peu de promotion pour ne pas finir seul au monde. imaginez que c'est un zombie et qu'il faut l'abattre. seulement, là c'est avec des messages donc on mitraille BAZZART et PRD de messages. et on vote, vote sur le TOP-SITE. vous arrivez au bout du message en espérant que ce n'était pas un calvaire.

BONNE CHANCE POUR RESTER EN VIE LE PLUS LONGTEMPS


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https://whenthedeadcome.forumactif.org
Arkan F. Highman
Arkan F. Highman
un petit trésor à l'état pur

→ Rôdeurs tués : 46
→ Age : 42 ans
→ Camp de survie : The Refuge

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MessageSujet: Re: On oublie souvent que l'essentiel est sous notre nez. [Jake M. Sullivan]   On oublie souvent que l'essentiel est sous notre nez. [Jake M. Sullivan] EmptyMer 25 Juin - 15:53

OMG MAIS DOC ! DOC ! ME TOO & tu as un chat ? Tu l'as fait exprès c'est ça XDDD ?!
Bah voilà, now on a le doc qui a un chien et le doc qui a un chat, mi-chat mi-chien

Spoiler:

pardon & bienvenue ! ♥
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MessageSujet: Re: On oublie souvent que l'essentiel est sous notre nez. [Jake M. Sullivan]   On oublie souvent que l'essentiel est sous notre nez. [Jake M. Sullivan] Empty

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