( ici vous écrirez votre histoire sous la forum que vous voulez : rp, anecdotes, lettres... on demande juste un minimum de 40 lignes. bon courage. )
« Cette vie me semble être là depuis toujours que j'en ai du mal à me rappeler l'ancienne moi. Tu sais, petite sœur, j'étais une femme d'affaire accomplie qui dirigeait une grande multinationale. Je faisais énormément de sport et j'étais plutôt arrogante. Je pense que tu dois t'en rappeler, j'ai quitté nos parents très jeune, je détestais tellement cette misérable ville de province du Massachusetts dans laquelle nous vivions. Dès que j'ai pus gagner de l'argent seule, je suis partie loin. J'ai fais plusieurs grandes villes avant de trouver ma voie à New York. Une entreprise qui développaient des armes militaires. Bien sur, je suis rentrée comme standardiste. Mais, mes yeux de biches ont rapidement fait tournés la tête d'un ponte de la boite.
« Je ne m'en vente pas. Je l'ai trouvé tellement pathétique à me supplier presque du regard quand il m'a proposé d'être sa secrétaire particulière. Il m'a tout apprit, je dois bien l'avouer. Aussi bien la manipulation des autres que l'envie de devenir un requin et de tous les abattre. Tu sais, Emilie, je l'ai respecté jusqu'à ce qu'il me touche la jambe de manière explicite. Là, je n'ai eu qu'une envie, le tuer, après l'avoir castrer. Mais je n'en ai rien fais. Je me suis contentée d'accumuler les preuves contre ce type jusqu'à aller voir les autorités supérieurs. J'étais devenue un requin dans cet aquarium de poisson. Et c'est comme ça que je suis arrivée dans cette ville. Kansas. En toute honnêteté, je n'étais pas ravis de venir ici mais je ne l'ai pas du tout regrettée. Loin de là.
« J'ai appris l'escrime, la boxe et pas mal d'autres sports de combat. C'était amusant, et en prime j'étais PDG de la filiale se trouvant juste à côté de la ville. Une vraie reine, tu sais. C'était le paradis, pour une fille de la campagne, futée qui n'avait rien à perdre mis à part sa virginité. C'était la belle vie. Le luxe, les paillettes, les soirées, le champagne et les fringues de créateurs. J'ai mené, l'espace de quatre ans, une vie de princesse voir même de reine, de matrone. J'avais des résultats excellents, on pouvait dire que je dirigeais cette entreprise d'une main de fer dans un gant de velours. Mais, c'était trop beau, ça ne pouvait pas durer éternellement et je le savais parfaitement.
« J'étais en train de m'entraîner à la boxe quand tout ça s'est déclenché. Il y a eu des cris en premier, puis des pleurs d'une enfant ayant perdu ses parents. A travers la vitre de la salle de sport, je voyais les gens courir, hurler et certains saignaient même. Je me suis vite changée et je suis sortie dans la rue. Je ne comprenais pas d'où venait l'agitation ambiante jusqu'à ce qu'on me saute dessus. J’eus pour réflexe de mettre mon sac dans la tête de l'homme qui m'avait agressé. Je lui ai asséné un bon coup de pied dans les parties mais il ne bougeait pas et semblait continuer à vouloir me... Me mordre...
« J'ai eu l'instinct de lui donner un coup dans la tête qui alla heurter le mur puis, il s'étala au sol sans plus bouger. Que se passait-il donc ? Ce type n'avait même pas sentis la douleur ! Je dois avouer, que j'ai préféré partir vite chez moi pour réfléchir à ce qui venait de se passer. Les rues étaient tellement agitées que je ne remarquais même pas le fait que l'armée bouclait le pâté de maison. C'est quand je suis arrivée devant le barrage que j'ai compris que quelque chose n'allait pas du tout. Ils parlaient d'une épidémie étrange qui faisait se relever les morts. C'était tellement insensé comme truc ! Mais... En même temps, celui qui m'avait attaqué avait les yeux vitreux. Comme un mort.
« Ma première pensée fut qu'il fallait que je trouve des armes et vite. Il fallait que je retourne chez moi. Je me suis faufilée dans une ruelle adjacente et je suis montée sur le toit. Je savais que les trois prochains immeubles communiquaient par là. J'ai réussis à retourner chez moi. Et j'ai pus prendre mon arc ainsi que mes deux lames d’entraînement. Direction l’affûtage. Lorsqu'elles furent aussi tranchantes que possible, j'ai hésité. Longuement. Sortir ? Ou rester ici ? La ville risquait d'être dangereuse. Mais si c'était une contamination par l'air, trop de risque d'être contaminée. A moins que je ne le sois déjà.
« C'est pour ça que je suis restée chez moi à écouter les infos pendant deux semaines. Jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien. La télé, la radio, les journaux... C'était le blackout total. Quand j'ai pointé le bout de mon nez, j'ai vu le désastre qui s'était étendu sur la ville. Des feux partout, des gens morts qui marchaient. Et une enfant qui pleurait. Elle était poursuivie par un rodeur et était tombée sur le macadam. Je dois avouer que j'ai hésité. Mais j'ai finis par aller la secourir et par tuer le truc, décapiter plus exactement. J'ai couru avec l'enfant dans les bras jusqu'à un magasin suffisamment sécurisé pour m'arrêter. La pauvre enfant avait été mordue par l'une de ces choses.
« Quelques heures plus tard, la gamine qui s'appelait Suzie se transforma en une de ces bêtes horribles qui peuplaient les rues. Je n'ai pas eu le choix... Elle ne méritait pas de finir comme ça, tu sais. Je crois que c'est bien la première foi que j'ai pleurer depuis une dizaine d'années. Son visage restera à jamais gravée dans ma mémoire. Pauvre gamine, elle n'avait rien demandé à personne. Mais elle m'avait appris au moins qu'il ne fallait pas que je me fasse mordre... Je crois que c'est aussi à ce moment là que j'ai décidé de tous les tuer, ces enfoirés de zombies. Je me suis mis à errer dans la ville.
« Et j'ai trouvé un groupe de survivants qui s'étaient retranchés dans un métro. Ou du moins ce qu'il en restait. Après avoir tuer quelques rodeurs, je les ai rejoins. Et j'ai promis de les protéger, de rester solidaire avec eux. On les avait abandonnés ! Il fallait bien que quelqu'un veille sur eux, non ? Alors, j'ai décidé de rester et de les protéger. Peu à peu des clans se sont créés, il y avait nous, les survivants, des gens louches et dangereux qui ressemblaient à un gang, une pseudo armée qui ne faisait plus rien et un groupe que j'ai repéré qui se trouvait dans le musée. Plus ça allait plus je me demandais s'il ne fallait pas mieux se méfier des vivants que des morts... »
Calyena
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