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→ Rôdeurs tués : 45 → Age : trente deux ans. → Camp de survie : the revivers.
Sujet: S'il faut mourir autant vivre à en crever. (+) MJ Ven 13 Juin - 19:14
surnom → ce n'est même plus un surnom puisque c'est devenu en quelque sorte mon prénom. mais enfant, c'était comme ça comme on me surnommait : MJ. âge → depuis le virus, je ne compte plus. il me semble que j'ai trente-deux ans. on peut mourir demain donc à quoi ça sert de compter. lieu de naissance → Kansas City. nationalité → américaine. cependant on peut trouver des origines autrichiennes, canadiennes et françaises dans mon sang. situation amoureuse → mariée à un homme que je n'aime pas. ancien métier → lieutenant de police. caractère → franche. romantique. lunatique. têtue. souriante. protectrice. sociable. bornée. parfois froide. directe. battante. rancunière.
the revivers
les ravitailleurs.
n'a jamais cru en rien. pourtant, elle vient d'une famille très religieuse, très pieuse. parfois elle se demande pourquoi elle reste dans un groupe comme ça. ∞ elle était enceinte mais elle a perdu son enfant, il y quelques jours. un enfant qui n'était pas celui de son mari mais son amant. ∞ simple, elle se contentera toujours du minimum. ∞ ne supporte pas l'odeur et la fumée de la cigarette. ∞ n'a jamais été vraiment amoureuse. pourtant elle pense que cette fois, elle l'est vraiment. ∞ ce n'est pas un plaisir pour elle te tuer les zombies. cependant, ce n'est pas un choix, c'est une obligation. c'est eux ou elle. ∞ s'attache trop facilement bien qu'elle s'est promit de ne pas le faire pour ne pas souffrir. ∞ elle a toujours un téléphone portable sur elle cependant elle l'allume très peu, juste pour regarder des photos de sa famille. la batterie est bientôt au bout.
meelow-jay "mj" snow
on ne vit pas, on survit.
SAVE MY LIFE, PLEASE !
le monde tourne à l'envers. je ne sais pas si c'est moi qui ne prend pas le bon chemin ou bien si c'est le chemin qui tangue. les carcasses. les ruines. le manque de nourriture, d'eau. les mangeurs de chaire humaine. les cadavres. tant d’éléments sournois qui prennent le dessus, qui transforme chaque parcelle de notre âme. qui nous transforme au point qu'on ne se reconnait plus dans un miroir. il faut changer, il faut évoluer avec le monde. ne pas le faire, c'est mourir. c'est arrêter d'entendre les battements de notre corps. c'est creuse son propre trou pour se voir enterrer vivant. on ne pensait devenir ainsi. on ne pensait pas devoir se battre. on se voyait heureux, avec des enfants, une famille. on se voyait vieillir. l'âge n'a même plus une quelconque importance. on peut mourir demain. on peut mourir d'une égratignure. on peut mourir de n'importe quoi. nous avons évoluer pour qu'un jour, tout perdre. le monde est un champs de ruines et nous ne sommes que des objets dans un paysage en désolation.
souvenir n°1.
tic tac. tic tac. j'ai l'impression de n'entendre que cette horloge, que cette aiguille qui fait défiler les secondes avec ce bruit qui me tiraille les oreilles. il parait que c'est la peur. je ne dois pas avoir peur. je ne suis pas le genre de filles à avoir peur. et pourtant. j'étais sur la bonne voie pour avoir une vie parfaite. pour avoir tout ce que j'ai toujours voulu avoir. une maison. un mari. et dans un futur proche des enfants. cependant, il y a bien une chose qui cloche : mon mari. l'homme parfait, l'homme intentionné. l'homme qui fait des petits pas pour vous montrez que vous comptez pour lui. l'homme qui vous emmène au restaurant, qui vous éloigne votre chaise... un bouquet de roses. des petites attentions qui me poussait dans ses bras. je le voyais comme le bon. je le voyais comme celui avec qui je voulais passer ma vie. une facette. voilà à quoi ça ressemble. j'ai l'impression d'avoir épouser un homme complètement différent. j'ai l'impression d'avoir épouser le diable en personne. qui aurait pû penser que derrière ce visage d'ange se cache l'homme le plus ignoble, le plus brutal, le plus colérique. la porte de la maison s'ouvre et ce n'est pas le bruit de l'horloge qui me glace le sang mais les pas de ses chaussures dans l'entrée. mon cœur commence à battre plus rapidement. tout mon corps se raidit. tout mon corps devient de marbre. je ne bouge plus. je n'arrive même plus à savoir si je respire encore. « Bonsoir mon coeur. » sa voix sonne totalement fausse. il se sert un verre de bourbon. on ne peut pas dire que l'alcool arrange son cas. c'est même l'effet inverse. ça empire les choses. « je me suis dis que ça serait bien de prendre des vacances, rien que tous les deux. un petit voyage en amoureux. je sais que tu rêves de partir à Paris. » il m'enlace par derrière de ses bras. avant je lui rendais son geste tendre en embrassant ses mains ou en faisant qu'il me sert plus fort. aujourd'hui plus rien. je garde encore les marques de la dernière fois. on ne peut pas dire que c'est chose facile de cacher des bleus. on arrive à trouver des excuses, à faire des mensonges. cependant, au bout d'un moment quelqu'un s'en rendra compte. je dirais quoi à ce moment. je ne pourrais pas dire la vérité. je ne peux pas montrer à quel point je peux être faible quand je suis chez moi. je suis née dans une famille religieuse. jamais on ne divorce. un mariage c'est pour la vie. je ne veux pas être une déception. alors j'encaisse. « si tu veux.» trois mots simples. il plante ses doigts dans la peau de mes épaules et fait en sorte que je me retourne vers lui. il me remet une mèche de cheveux derrière l'oreille. je le vois dans son regard. je vois cette colère. je vois cette façon de faire. je n'ai pas le temps de me préparer que son poing s'abat sur ma joue. je ne suis qu'une plume comparait à son gabarit. je m'effondre sur le sol. « j'en peux plus de toi, MJ. j'essaye d'être gentil, j'essaye de te faire plaisir. et toi, rien. tu es misérable. regarde-toi sur le sol. » si je m'écoutais, j'aurais déjà pris l'un des couteaux qui trainent sur le comptoir de la cuisine et je l'aurais enfoncé dans son ventre. j'aurais mis des centaines de coups jusque que son visage ne ressemble à rien. j'aurais fait de lui qu'un lambeau de chaire humaine. je ne peux pas faire ça. il se met baisser et se met à ma hauteur. il pose sa main sous mon menton et me regarde dans les yeux. il souffle et me repousse. il ne fait rien alors je décide de me lever. je ne fléchis pas. je garde la tête droite. je ne veux pas lui donner la gloire de me voir pleurer ou montrer ma douleur. les coups se suivent. mon corps n'est que douleur. chaque geste n'est que destruction. « bonne nuit mon cœur.» me lance-t-il en me laissant recroqueviller sur le sol froid de la cuisine. il m'aide pas. il ne fait rien. je ne bouge plus. une larme coule sur ma joue et je l'essuie. même ça, ça me fait mal. je n''ai plus de force. je n'ai pas le courage de me lever. je ne peux pas aller dormir dans le même lit qu'un homme comme lui. j'attends quelques minutes puis en me trainant sur le sol, je vais jusqu'au salon. je m'allonge sur le tapis pour être plus au chaud. mes paupières se ferment toute seule au bout de deux heures.
souvenir n°2.
c'est bientôt le début de mon service. je suis un peu en avance. en même temps, je préfère passer le plus du temps à mon bureau. mon coéquipier ne devrait pas tarder à arriver. le mot coéquipier quand on sait que ça va bien au-delà de ça. je devrais dire mon amant aussi. l'homme dont je suis amoureuse. quand je suis dans ses bras, je n'ai plus peur de rien. je suis bien. il est doux, il est délicat et prend soin de moi comme personne. il est totalement différent de mon mari. aucune rage dans son regard. seulement le bleu de ses yeux où je me perds. je ne compte même plus le nombre de fois où j'ai inventé de fausses réunions, de fausses formations pour passer des nuits avec lui. il sait pour la violence de mon mari et il ne comprend pas pourquoi je suis encore avec lui. il ne comprend pas pourquoi je ne divorce pas. Luke veut que j'emménage avec lui et que je ne sois qu'à lui. qu'ensemble, on pourra être tranquille et qu'il me protégera quoiqu'il arrive. « MJ, viens. on se tire d'ici. tout de suite. » j'étais dans mes pensées que je n'ai même pas fait attention à la porte qui s'ouvre. à Luke qui rentre et qui m'attrape la main. j'ai juste le temps de prendre mon arme que je suis déjà en bas de l'immeuble de la police. je ne comprends pas vraiment ce qui se passe. pourtant une fois dans la rue, tout semble différent. les gens courent. les gens se bousculent. j'entends même des cris. je me stoppe et je regarde un homme entrain de poursuivre une femme et la faire chavirer. puis du sang, du sang et encore du sang. parfois, j'ai l'impression que c'était l'une des scènes d'un film d'horreur, que ça n'est pas la réalité. et pourtant cette première fois est bien réelle. c'était la première fois que j'en voyais un. « Luke, qu'est-ce qu''il.... » je ne finis pas ma phrase que je suis encore entrain de courir. Luke ne me lâche pas et ne me laisse pas une minute pour souffler. on court dans les rues ne faisant attention à rien. pourtant j'aurais aimé aider ces gens. j'aurais aimé les défendre face à ce bordel. Luke s'arrête enfin près de la porte du muséum. il s'engouffre à l'intérieur. le muséum a toujours été calme. très peu de personnes semble s'intéresser à la culture. ils nous enferment dans le premier bureau. faisant en sorte que personne ne rentre. je reprends tranquillement mon souffle. il est entrain de reprendre le sien en passant la main dans ses cheveux. je m'avance vers lui. « je veux sa....» « je ne sais pas grand chose, MJ. je sais que ce n'est pas normal. qu'il est arrivé quelque chose. le gouvernement voulait faire quelque chose, ça n'a pas marché. ils ne sont plus humains. il est difficile de les tuer. » il me pose ses mains sur mes joues et fond son regard dans le mien. « il faudra bien qu'on sorte d'ici un jour ou l'autre. je dois trouver ma famille, mon mari. » je ne sais pas pourquoi je parle de lui. il n'a qu'à se faire tuer. un monstre de moins sur la planète. et pourtant je le dis. il y a des choses étranges tout de même. des choses qu'on ne se rend pas vraiment compte. la seule personne qui compte pour moi, c'est Luke et il est près de moi. « il ne mérite pas que tu t'occupes de lui. il aura ce qu'il mérite. au moins, je n'aurais pas besoin de le faire moi-même. » tout à commencé ce jour-là. toute la transformation a débuté... ce n'était que le début. je ne connais pas la fin cependant j'espère qu'elle sera heureuse.
e.
votre pays + france. fréquence de connexion + tous les jours normalement. où as-tu découvert le forum + bazzart si quelque chose te dérange, on veut savoir : + j'adore tout tout sors-tu de ta petite cervelle + (x) je suis fabriqué made in mon imagination pour rentrer le mot de passe, non c'est une blague + 32MJWALKER maintenant tu peux te lâcher tout est permis +
Dernière édition par Meelow-Jay "MJ" Snow le Ven 13 Juin - 21:07, édité 5 fois
C. Castiel-Ekho Gallagher
Will you just wait until I die
→ Rôdeurs tués : 991 → Age : vingt-trois ans. → Humeur du moment : une envie de tuer du rôdeur. → Camp de survie : la contrainte me pousse à rester au refuge. bien que l'envie serait de partir.
Sujet: Re: S'il faut mourir autant vivre à en crever. (+) MJ Ven 13 Juin - 19:35
BIENVENUE sarah bonne chance pour ta fiche. et n'hésite pas si tu as des questions.
Meelow-Jay "MJ" Snow
un petit trésor à l'état pur
→ Rôdeurs tués : 45 → Age : trente deux ans. → Camp de survie : the revivers.
Sujet: Re: S'il faut mourir autant vivre à en crever. (+) MJ Ven 13 Juin - 20:36
merci
Arkan F. Highman
un petit trésor à l'état pur
→ Rôdeurs tués : 46 → Age : 42 ans → Camp de survie : The Refuge
Sujet: Re: S'il faut mourir autant vivre à en crever. (+) MJ Ven 13 Juin - 21:01
Welcome !! :DDD Nous manque des gens chez les Revivers très bon choix ♥
Meelow-Jay "MJ" Snow
un petit trésor à l'état pur
→ Rôdeurs tués : 45 → Age : trente deux ans. → Camp de survie : the revivers.
Sujet: Re: S'il faut mourir autant vivre à en crever. (+) MJ Ven 13 Juin - 21:08
hugh merci
C. Castiel-Ekho Gallagher
Will you just wait until I die
→ Rôdeurs tués : 991 → Age : vingt-trois ans. → Humeur du moment : une envie de tuer du rôdeur. → Camp de survie : la contrainte me pousse à rester au refuge. bien que l'envie serait de partir.
Sujet: Re: S'il faut mourir autant vivre à en crever. (+) MJ Ven 13 Juin - 21:14
félicitations...
maintenant on ne rigole plus. vous allez être propulsé parmi les zombies. vous pensiez que c'était le pays des bisounours. on ne va pas être affreux. on accepte que vous soyez entouré d'amis et d'ennemis ; alors on lâche ses armes quelques instants et on file par ICI. ne prenez pas vos jambes à votre cou, vous avez encore pleins de des choses à faire. c'est beau de faire partit d'un groupe seulement il faut être capable de servir à QUELQUE CHOSE. c'est vrai, il y a plus de zombies que d'êtres humains. mais n'oublions pas qu'à plusieurs, on est plus fort. on opte pour le GENRE HUMAIN. tout est bientôt terminé.
un peu de promotion pour ne pas finir seul au monde. imaginez que c'est un zombie et qu'il faut l'abattre. seulement, là c'est avec des messages donc on mitraille BAZZART de messages. et on vote, vote sur le TOP-SITE. vous arrivez au bout du message en espérant que ce n'était pas un calvaire.
BONNE CHANCE POUR RESTER EN VIE LE PLUS LONGTEMPS
Meelow-Jay "MJ" Snow
un petit trésor à l'état pur
→ Rôdeurs tués : 45 → Age : trente deux ans. → Camp de survie : the revivers.
Sujet: Re: S'il faut mourir autant vivre à en crever. (+) MJ Ven 13 Juin - 21:16
merci merci
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Sujet: Re: S'il faut mourir autant vivre à en crever. (+) MJ
S'il faut mourir autant vivre à en crever. (+) MJ
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