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 maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world.

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AuteurMessage
Maxxie K. Deluca
Maxxie K. Deluca
un petit trésor à l'état pur

→ Rôdeurs tués : 37
→ Age : vingt-cinq ans.
→ Humeur du moment : totalement perdue.
→ Camp de survie : camp des militaires.

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MessageSujet: maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world.   maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world. EmptySam 27 Juil - 10:31

surnom → la plupart des gens m'appelle Max. c'est bien plus simple  à dire et à retenir. âge →  vingt-cinq ans bien que j'ai arrêté de compter mon âge. lieu de naissance → loin des USA, dans un petit village espagnol. nationalité →  américaine. situation amoureuse →  veuve. ancien métier → a enfilé la couleur kaki quelques jours avant l'épidémie. caractère → brute. bordélique. simple. calme. sereine. très fragile malgré les apparences. entière. attentive. raisonnable.  aimante.  

MILITARY DETACHMENT

son véritable prénom est maximilia  mais depuis qu'elle a cinq ans, elle a opté pour maxxie. ∞ elle adore la musique et c'est l'une des principales choses qui lui manque maintenant. ∞ elle fredonne souvent une berceuse que sa fille adorait pour s'endormir. ∞ elle ne supporte plus de se regarder dans un miroir. son reflet représente pour elle, une meurtrière. ∞ l'armée n'a jamais été son rêve cependant elle croit désormais que c'est son destin maintenant. ∞ la première fois qu'elle a manié une arme, elle a visé son pieds. elle garde une cicatrice depuis. ∞ elle remercie son père de l'avoir forcer à pratiquer le tir à l'arc et la course quand elle était enfant et adolescente. ∞ elle n'a jamais été croyante pourtant elle pris tous les soirs et porte une croix autours du cou.


maxxie khaleesi deluca
Nous avons tous des moments de profond désespoir...

SAVE MY LIFE, PLEASE !
❝ JE ME SUIS LONGTEMPS PERDUE SUR LE SENS DE LA VIE. SUR LES CHOIX QU'ON FAIT, SUR LE DESTIN. JE NE PENSE PAS QUE J’ÉTAIS FAITE POUR FAIRE DE GRANDES CHOSES, POUR DÉCROCHER DES MONTAGNES. JE SUIS UNE HUMAINE AU MILIEU D'UNE FOULE DE ZOMBIES. POURTANT J’ESPÈRE AVOIR FAIT LE BONHEUR DE CERTAINS, D'AVOIR EU ASSEZ DE COURAGE POUR SAUVER DES FAMILLES, DES COUPLES OU DES VIES. JE NE DEMANDE PAS DE RECONNAISSANCE, UN SOURIRE ME SUFFIT, UN BONHEUR ME SUFFIT.  LE MONDE NE SERA PLUS LE MÊME ALORS AUTANT PROFITER DES PETITES CHOSES.  AUTANT VOIR UNE JOURNÉE COMME LA DERNIÈRE. DEMAIN SERA DIFFÉRENT. OU NON. CE QUI EST SUR, C'EST QUE J'AURAIS ESSAYER DE SURVIVRE UNE JOURNÉE DE PLUS EN ENFER. ❞
castiel
maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world. Tumblr_mqka86lHDd1rsx2q2o2_250

votre pays + écrire ici. fréquence de connexion + écrire ici. où  as-tu découvert le forum + je suis Castiel donc pas besoin d'en demander plus. je connais le forum par coeur et puis bien longtemps. si quelque chose te dérange, on veut savoir : + écrire ici. sors-tu de ta petite cervelle + () je suis fabriqué made in mon imagination () je suis un joli pv () je suis la création de la folie de quelqu'un le petit mot magique + écrire ici le code du réglement. maintenant tu peux te lâcher tout est permis + écrire ici.

Code:
[b]CRYSTAL REED[/b] ☞ [i]maxxie k. deluca[/i]
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Maxxie K. Deluca
Maxxie K. Deluca
un petit trésor à l'état pur

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MessageSujet: Re: maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world.   maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world. EmptySam 27 Juil - 10:31

❝ J'AURAIS AIMÉ CHOISIR MA FAMILLE, J'AURAIS AIMÉ AVOIR LA FAMILLE PARFAITE QUI COMPRENNE MES CHOIX ET MA FAÇON D'ETRE. QUI ME SOUTIENNENT MÊME SI JE NE SUIS PAS PARFAITE. ❞ on aurait pû vivre en Espagne. on aurait pû avoir une vie différente près de notre famille paternelle. seulement pas n'a jamais voulu se perdre à Madrid rêvant les choses en grand. je suis la seule à être née en Espagne à cause des vacances annuelles. je suis la quatrième de la famille Deluca, l'avant dernière et la seule fille. la seule fille et celle qui ne suit pas le moule comme le veut tellement papa. je ne suis pas parfaite pour lui et seulement parce que je ne veux pas devenir un médecin. le rêve américain. foutaise. ce que j'aime, c'est peindre. c'est poser mes fesses sur un tabouret devant une toile blanche et la voir prendre forme au fil des heures. j'ai les capacités pour rentrer dans cette école, c'est même eux qui sont venus me chercher. je regarde ma meilleure amie en attrapant un livre sur le peintre Monet pour mon devoir d'arts plastiques. elle me fait un grand sourire et me lance un bonne chance sachant que je fais en avoir besoin pour la fin de ma journée. je l'embrasse sur la joue et je quitte mon lycée en prenant mon temps pour rentrer à la maison. on pourrait croire que je vis dans l'une de ses maisons luxueuses. seulement mon père a de plus gros yeux que plus gros travail. il dit que ça va arriver, qu'il aura  le métier qui paye le plus. on est sept à vivre dans une maison pour trois ou quatre. j'ai à peine mis les pieds dans la maison que j'entends les cris de mon père.  Qu'est-ce que j'ai fait pour avoir une fille aussi têtue ? tu crois que la peinture, ça rapporte. tu crois que tu vas avoir une vie agréable. pourquoi être médecin quand vous détestez ça, quand vous êtes lamentables en biologie et physique. quand vous comprenez pas trois lignes de maths. j'ai la tête dans les étoiles selon les  professeurs. j'assume. j'assume  d'être une artiste. et je ne laisserais pas mon père dictait ma  vie. je refuse d'être son objet comme le font tant mes quatre frères. je veux ma liberté et mes propres choix. tu n'as jamais vu une seule de mes toiles, tu connais pas mon talent. tu ne sais rien de moi. je ne lâcherais pas mon rêve quoique tu fasses, quoique tu me dises. lançais-je en le regardant droit dans les yeux, en lui montrant que je jouerais pas à la fille parfaite. j'attrape un verre que je lance à travers de la cuisine. il explose en milliers de morceaux et se répand sur le sol. mon père me regarde encore plus en  colère. si tu t'inscris à cette école, ne reviens plus à la maison. il leva mon papier d'admission en me le montrant. je n'aurais jamais imaginé qu'il me dirait une chose comme ça. seulement, ce n'est pas avec ça que je vais changer. que je vais refuser d'y aller. je sais que je suis capable de me débrouiller toute seule. ça sera plus dur mais en travaillant à côté, je pourrais faire le métier que je rêve. comment tu peux dire ça ? comment tu peux être aussi cruel et horrible. tous tes fils font ce que tu leurs as demandé alors pourquoi m'emmerder avec tes foutus études de médecines. je repris un autre verre que je lançais à nouveau. je pouvais me montrer calme la plupart du temps cependant quand on m'énerve, je pars très facilement en vrille. et puis regarde-toi, tu n'es même pas capable  de nous offrir la vie que tu clames à longueur de temps. je ne lâcherais pas mon rêve.  tu pourras dire tout et n'importe quoi, à la rentrée je serais étudiante là-bas. mon père se leva  et me gifla sans que je m'en rende compte. je fus surprise. je posais ma main sur ma joue brûlante. c'était la première fois qu'il portait une main sur moi. il a toujours été clément de ce côté-là. la violence ne résout rien comme il le dit si bien. même si la douleur me lançait, je ne lui montrais pas que ça me faisait mal. je cachais ma douleur. Ne me reparles jamais comme ça. j'essaye de vous donner tout ce que vous aimez. je viens de prendre un troisième emploi pour qu'on puisse déménager dans une maison plus grande. il ne comprends pas que je me fous de l'argent. que je me fous d'avoir la plus grosse maison du quartier, de m'habiller avec des vêtements de marque. je me fous d'avoir des cadeaux d'anniversaire et de Noël au-dessus de leurs moyens. je veux seulement de l'amour. j'aime quand maman me prend dans ses bras pour me caresser les cheveux. j'aimais quand je passais des après-midi avec papa dans le parc où il m'apprenait à jouer au baseball. ça, ça me suffit. je me fous de vivre dans une plus grande maison. je me fous de tout ça. c'est l'amour de mes parents que je veux seulement. je quittais la cuisine montant les marches deux à deux. je tournais à droite rentrant dans la chambre que je partageais avec mon petit frère. je me laisse tomber sur le lit et je regarde mon papier d'admission. un sourire se dessine sur mon visage.

❝ POURQUOI MOI ? POURQUOI PAS UNE AUTRE ? POURQUOI  J'AI LE DROIT A CA. ❞une soirée entre filles. une soirée de détente et de danse il devait être quatre heures du matin quand j'ai décidé de rentrer. je n'allais pas être très fraîche pour mon premier cour dans six heures. quelle importance, il fallait que je profite de ma jeunesse, de ma vie, de tout. la soirée parfaite. j'avais tellement ri. j'avais eu le droit à des verres gratuits par le séduisant barman. une danse endiablée avec un jeune avocat. j'avais refusé que Mary me raccompagne. j'étais assez grande pour faire les quinze minutes à pieds pour rentrer dans mon petit studio. je marchais en fredonnant. la nuit était d'un noir de corbeau. pas une étoile en vue. une nuit digne d'un film d'horreur. je souris en sachant que je fais la victime idéale en marchant toute seule. ça ne peut pas m'arriver. un serial-killer ne trainerait jamais dans notre ville. du moins, je le pensais jusqu'à que je sente une brûlure intense sur le derrière de ma tête. mes yeux divaguent et le sol se rapproche de plus en plus. il est même sous mon nez à rire de mon idiotie à croire que ça ne pourrait jamais m'arriver. heureusement que j'ai encore le reflexe de mettre mes mains pour ralentir la chute et éviter que mon visage se brûle. je me retourne sur le dos en criant comme une folle. le visage de l'homme en face de moi est flou. je ne sais pas s'il porte une cagoule et si c'est la faute du coup. un tissus dans ses mains, il vint le plaquer sur ma bouche. je me remue pour me libérer mais mes paupières se ferment doucement. la lutte ne sert à rien, j'ai perdu.  j'ouvre délicatement les yeux. je ne reconnais rien. je reconnais pas le mur, le lit. rien. je veux me lever mais mes mains sont accrochés aux barreaux du lit. je suis prisonnière. je bouge les lèvres mais aucun son ne sort. normal quand vous avez un bout de scotch. la porte s'ouvre sur une homme qui doit avoir le double de mon âge. il sourit et se rapproche. Ma petite princesse est réveillée. murmure-t-il alors qu'il est au-dessus de moi entrain de retirer le scotch. ça fait un mal de chien.  dès que ce truc immonde n'est plus sur ma bouche, j'ai besoin de crier. un cri qui raisonne. il me regarde en me faisant un chut avec son doigt. détachez-moi ! détachez-moi  espèce d'ordure. je continu à crier. je ne veux pas arrêter, je ne veux pas arrêter avant d'être libre. avant de rentrer chez moi et de me blottir dans mon canapé devant une comédie romantique. tais-toi ! tais-toi. personne ne peut t'entendre. nous sommes au milieu de nulle part. sa joue me gifla violement la joue. une gifle qui me rappela celle que m'avait donné mon père. mo père qui devrait s'inquiéter quand je ne répondrais pas aux appels de maman.  je m'arrête et je laisse une larme couler le long de ma joue. il pose sa main et l'essuie avec une douceur qui contraste avec la brutalité qu'il a eu. pourquoi moi ? pourquoi vous me faites ça ? pourquoi m'avoir kidnapper ? des tonnes de question passaient dans ma tête. des tonnes de questions sans réponse. je voulais qu'il me réponde, que je sache ce qu'il voulait. on ne kidnappe pas quelqu'un comme ça, on ne kidnappe pas quelqu'un sans avoir une raison. il ne semblait pas être un mauvais garçon. il n'était pas moche non plus. il avait de beaux traits. il aurait pû faire craquer pas mal de filles sans avoir à les kidnapper. je t'observes depuis si longtemps.  tu es un joyau à l'état pur, maxxie. il connaissait mon prénom et il me suivait depuis un bon moment. je n'arrivais pas à le croire. ça ne pouvait être qu'un fou. tu mérites d'avoir une vie agréable, une vie avec quelqu'un qui t'aime.  regarde, c'est magnifique ici. j'ai construit cet endroit pour toi. rien que pour toi. on va être heureux, toi et moi. oulà, ça devenait vraiment gênant. lui et moi, non ça ne pouvait pas être possible. je le connaissais pas, je n'étais pas amoureuse de lui. rien. il posa ses lèvres sur les miennes. dégueulasse ! j'avais envie de vomir. je devais pas, je devais lui faire enlever mes liens et m'enfuir de cet endroit. vous pourriez enlever mes liens, ça serait bien plus facile. il me frappa violement de nouveau. quand il se rendit compte de son geste, il me caressa la joue. je ne veux pas d'une putain. je vais te détacher mais on reste calme. pas de bêtises. il posa ses mains sur mes liens et les détacha avec douceur. il me massa les poignets pour enlever la rougeur que ça avait créer. il attrapa même un tube de crème pour l'irritation. il était attentionné bien plus que certains jeunes hommes avec qui je m'étais amusé. le genre de mecs qui profitent de vous et qui vous jette comme un mouchoir en papier. je passais les jambes sur le bord du lit. ma tête me tournait seulement quelques secondes et ça passait. il me mit une pile de vêtements propres et me montra la salle de bain pour que je me  rafraîchisse.

❝ IL FAUT SAVOIR SE SACRIFIER POUR AVOIR LE DROIT AU BONHEUR. JE NE REGRETTE PAS MON GESTE PUISQUE SANS CA, JE NE SERAIS PLUS DE CE MONDE. ❞ deux ans et demi dans cet endroit isolé du monde, à être avec un homme que j'aime pas, qui me dégoute au plus haut point. je le regarde tous les jours et il me donne envie de vomir. et le pire est de savoir qu'il est le père de mon trésor. Lolly soufflera ses deux bougies dans cinq mois et je ne veux pas qu'elle vive encore de la sorte. je ne veux pas qu'elle me voit encore dans cet état, qu'elle voit cet homme me frappait quand je ne fais pas les choses de la manière qu'il  désire. ce n'est pas une vie pour une enfant. les seules fois où j'avais le droit de toucher au couteau, c'était lorsque je faisais la cuisine. lorsque je devais préparé des plats à la hauteur de ses exigences. sans réfléchir, j'ai gardé l'un des couteaux. je les cachais dans mes sous-vêtements. il ne fallait pas qu'il me trouve avec ça. jamais. il aimait prendre une pause après manger. il aimait se laisser tomber sur le lit et dormir pendant une petite demi-heure. c'était le bon moment pour agir, pour nous sortir de l'enfer. je vais faire ma petite sieste à mon réveil tout droit être propre. je n'entendis même pas ce qu'il venait de me dire. parce que dans quelques minutes, il allait s'endormir dans un profond sommeil. et ne plus ouvrir les yeux avant bien longtemps. je tapote sur le rebord de l'évier en faisant couler l'eau, le temps qu'il s'endorme. cinq minutes s'écoule. je sors le couteau et me dirige vers la chambre. je vérifie s'il dort bien, puis je monte sur le lit. avec lenteur, je me mets à califourchon au-dessus de lui. Salopard, crève. murmurais-je  en plantant le premier coup de couteau en plein dans sa poitrine. puis le deuxième. le troisième. les coups s'enchainaient les uns après les autres, le sang jouant sur mon visage et se mélangeant avec l'eau salée de mes larmes. vingt-deux coups de couteau. j'ai mis vingt-deux coups de couteau avant d'entendre les cris de ma fille qui m'appelait car elle était toute seule dans son siège. je lâchais le couteau et m'enlevais du lit. mes mains étaient d'un rouge éclatant, d'un rouge immonde. je ne pouvais pas consoler ma fille dans cet état.  maman arrive, Lolly. deux minutes. dis-je en commençant à passer mes mains sous l'eau chaude et en frottant encore et encore. je voulais retirer ce sang, je voulais enlever toutes les traces de mon corps. j'ai retiré mes vêtements, je les ai balancé dans un coin et j'ai enfilé des trucs propres. je me suis aspergé le visage. j'avais enfin tout enlever. plus aucune trace. je prenais ma fille dans mes bras pour la consoler et lui dire que tout était fini, que tout irait mieux maintenant. j'ai fouillé et j'ai trouvé un sac à dos. je l'ai remplit de nourriture, je l'ai remplit de bouteilles d'eau. puis je partis d'ici. on a marché encore et encore. on a marché tellement longtemps que je ne sais pas combien de temps. on s'est perdu. on s'est perdu et je me suis dit que j'avais fait le mauvais choix. que je n'aurais pas dû partir comme ça de cet endroit ne sachant pas où j'étais, ni où j'allais. seulement, il fallait bien qu'on retrouve une vie. heureusement dans tout ce bordel, on a eu la chance de tomber sur cet homme. je ne savais pas si je devais. j'avais peur de retomber dans une spirale infernale. j'étais dans un bureau attendant qu'on s'occupe de moi. je voyais les regards de ces policiers qui se rendaient compte que la fille disparue était enfin de retour. Vous êtes bien Maxxie Deluca ? quelle question idiote. oui c'était moi et personne d'autre. vous voulez que ça soit qui.  je veux rentrer chez moi. appelez mes parents, ils viendront me chercher. je m'énervais. je ne voulais pas ces foutues questions, je ne voulais pas rester enfermé dans cette pièce alors que ça avait été le cas pendant plus de deux ans. Lolly dans mes bras, elle était calme. elle s'amusait avec ma chaine. Enervez-vous pas Mademoiselle Deluca. nous sommes obligé de faire un rapport et de savoir ce qui s'est passé. je le savais pas mais ils pouvaient très bien attendre. ils pouvaient bien le faire demain ou dans une semaine. avez-vous vu votre kidnappeur ? connaissez-vous son prénom ? son nom ? bien oui. je pouvais le décrire dans les moindres détails. je me rappelais de chaque détail. cependant, je ne connaissais rien sur son prénom ou son nom. je connaissais rien de son passé. je savais juste qu'il n'avait plus de parents parce qu'il les avait tué. c'est tout. je peux vous le décrire si vous voulez. mais ça ne sert à rien. ça ne sert à rien. le policier me regarda avec de gros yeux. je n'arrivais pas à savoir ce qu'il pensait ou ce que ça voulait dire. Pourquoi vous dites ça Mademoiselle ? ça avait été assez flou ma façon de répondre. et c'était normal qu'il me pose cette question, qu'il me demande des explications supplémentaires sur le fait que j'avais dit que ça ne servait à rien. avec cette question, les images me revenaient devant les yeux. je me revoyais entrain de tuer un homme de sang froid, à le poignarder encore et encore. j'avais eu l'impression que ce n'était pas moi cette fille qui avait fait ça. que j'étais devenue quelqu'un d'autre pendant quelques minutes. tout le monde l'aurait fait pour se sauver, pour sauver son enfant. il est mort...je l'ai tué.... dis-je en baissant la tête et en bouchant les oreilles de Lolly. elle n'avait pas à le savoir, elle n'avait pas à connaitre cet homme. la police jugea que c'était de la légitime défense et heureusement, sinon j'aurais pû finir en prison.

❝ JE CROIS AU COUP DE FOUDRE, LA PREUVE JE SUIS TOMBÉE SUR CE GARS. IL EST PEUT-ÊTRE PAS PARFAIT MAIS JE ME SENS MOI AVEC LUI. ❞ j'appuie sur le bouton de l'ascenseur pour me rendre à l'étage cinq. étage où je vais à mon rendez-vous chez le psy. je ne saurais dire si ça me fait du bien ou si ça me soigne mais au moins, je parle à quelqu'un. je n'attends pas à ce qu'il comprenne. loin de là. il m'écoute et ça me suffit. il m'écoute peut-être que ce n'est même pas le cas. la secrétaire me sourit et me montre la porte du psy pour me dire que je peux y aller, qu'il m'attend. je pose ma main sur la poignet et je prends ce courage qu'il me faut tout le temps pour rentrer à chaque fois dans cette pièce. ce n'est pas facile de se mettre à nue et de parler de l'enfer que j'ai vécu. j'ouvre enfin la porte et j'aperçois un homme qui ne ressemble pas du tout au docteur Watts. je reste sur les fesses avant de parler. désolé je crois que je me suis trompée de porte. dis-je d'une traite avant de refermer la porte à moitié. il se lève et met son pied pour la bloquer. non. non. entrez. je remplace le docteur Watts. je suis le docteur Maxwell. oulà, ce n'était pas prévu. j'ai l'habitude de parler à quelqu'un et ça me fait bizarre de savoir que je vais parler à cet homme. à cet homme jeune et très bel homme. je mets à le regarder avec des yeux brillants. quelque chose a fait un grand boum dans mon corps et mon cœur s'emballe. il me laisse entrer puis referme la porte. je m'installe sur le canapé dédié aux patients. j'ai lu les notes du docteur Maxwell. j'ai vu où vous vous étiez arrêter. mais c'est à vous de décider de ce que vous voulez parler. sa voix était d'une douceur parfaite. mon regard n'arrivait pas à regarder ailleurs que ces lèvres. je crois même que mes joues ont rosis. je secoue ma tête pour penser à autre chose que la manière dont il  passe sa langue sur ses lèvres. depuis que je me suis enfuit, c'est la première fois que je ressens un truc du genre. je suis distante avec les hommes et pourtant avec lui, je ne sais pas il me met à l'aise. je n'ai pas peur de lui parler parce que j'ai l'impression qu'il aime son métier et qu'il peut être capable d'écouter une personne avec intérêt. je crois que pour moi, c'est mieux de continuer. il prit son calepin et s'installa correctement. il ne parla plus attendant que ça soit moi qui le fasse. on était là pour moi et il semblait vouloir me le faire comprendre. la naissance de Lolly a été une espèce de renaissance. je ne pouvais pas flanchir. je ne pouvais pas avoir envie de mourir et la laisser toute seule avec un homme comme lui. je devais prendre soin d'elle, je devrais être une mère exceptionnelle. je ne voyais pas cet homme. je la voyais comme ma propre fille et celle de personne d'autre. je restais désormais muette. je ne savais pas ce que je devais dire sur ma fille, sur ce que je ressentais. il comprit mon mal à l'aise et il me souria. et votre fille, comment elle sent ? elle vous parle de tout ça  ? Lolly voyait un psychiatre pour enfants. tout ce qui se passait avec ma fille et la psy restait secret. c'était moi qui voulait que les choses soient ainsi. je voulais que Lolly puisse se rendre compte qu''elle pouvait tout dire à cette femme. depuis que Lolly parle et qu'on est rentré de la cabane, elle parle énormément. elle me pose des questions et je ne sais pas la plupart du temps si je dois lui dire la vérité ou si je dois embellir les choses pour qu'elle garde son enfance encore un peu. cependant, j'ai peur le jour où elle rentrera à l'école. tout le monde connait notre histoire et je ne veux pas qu'on se moque, qu'on la juge par rapport à son père. vous devez faire ce que vous pensez le mieux pour votre fille. il n'ya pas de recette magique. les erreurs arrivent à tout le monde. c'est fou comme ces mots me remontaient le moral. je suis jeune pour avoir un enfant et j'ai dû apprendre à m'en occuper sans l'aide de personne. maintenant, je peux avoir de l'aide et j'en ai besoin. j'ai besoin de savoir si je prends les bonnes décisions. [...] je n'avais même pas vu le temps passer. voilà une heure que je parlais de Lolly et de moi. j'en avais grandement besoin. et pour une fois, je sors de cette séance avec un poids un peu moins lourd sur le cœur. le docteur Watts a toujours eu tendance à se taire et à ne pas poser de questions. avec le docteur Maxwell, c'est différent. il ose me poser des questions, il ose me dire des choses. je me lève et enfile ma veste. je suis prête à partir quand il s'approche de moi. il pose un regard protecteur. je sais que ça ne se fait pas. mais je voudrais vous inviter à dîner. je ne savais pas quoi dire. il était vrai qu'il était désormais mon docteur et j'étais sa patiente. pourtant je n'avais pas envie de lui dire. je suis attiré par lui. je ne sais pas si c'est quelque chose d'important mais je veux découvrir ce que je sais. d'accords. murmurais-je peut-être un peu trop bas. seulement, il l'entendit et posa une main sur mon épaule. je passerais vous prendre chez vous à vingt-heure. il suffit parfois d'un instant pour être attirer par une personne.


Dernière édition par Maxxie K. Deluca le Lun 29 Juil - 11:42, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world.   maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world. EmptySam 27 Juil - 10:31

❝ JE ME SUIS CRU AU PARADIS. EN FAITES, CE N’ÉTAIT QU'UNE FACETTE POUR ME MONTRER QUE LE BONHEUR N'EXISTE PAS.❞ j'étais enfin heureuse. je vivais dans ma petite bulle de bonheur. Diego faisait désormais partit de ma vie. il est l'homme parfait. il s'occupe de moi mais aussi de Lolly comme si c'était sa fille. elle l'appelle désormais papa. et puis je suis désormais Madame Maxwell. j'aime  ce que je vis et enfin je me dis que je suis guéris. plus de cauchemars. plus de cris. je nageais dans le bonheur. on revenait de chez des amis. ils n'habitaient pas très loin de Kansas City. vingt-minutes en voiture. c'est moi qui conduisait, Diego n'était pas en état. il avait un peu trop bu pour prendre le volant. Lolly dormait comme une souche sur le siège arrière. en même temps, elle s'était amusé comme une folle. je n'aimais pas quand Diego buvait autant, je n'aimais pas car j'avais l'habitude de voir l'un de mes frères.  tu n'aurais pas du boire autant, Diego. il me souria et posa sa main sur ma cuisse. je ne pouvais pas être en colère contre lui quand il était comme ça.il était si craquant avec ses yeux verts et son côté brun ténébreux. n'importe quelle femme aurait pû succomber à lui et pourtant c'était dans mes bras qu'il avait décidé d'aller.  tu t'en fais pour rien, Max. quelques verres, c'est tout. on est encore jeune, on doit s'amuser. il est vrai que j'avais que vingt-quatre ans et lui vingt-six. mais il fallait être raisonnable tout de même. je me tournais vers lui. je me rappelle encore la scène avant qu'on parte. il lui avait crier dessus, lui disant que son repas était de la merde et qu'elle était une cuisinière lamentable. la honte de ma vie. surtout que je connais Catelyn depuis très longtemps. j'ai passé énormément de temps chez elle quand je suis rentré chez moi. chez elle, je n'avais pas les paparazzis, j'étais au calme et elle ne m'énervait pas. quand je ne parlais pas, elle me laissait tranquillement se contentant de me dire que tout passe avec le temps.  je sais bien mais tu as vu la façon dont tu as parlé à Catelyn. c'était à cause de l'alcool et je le savais. Maaaaxxx... son cri se perdue dans le choc. notre voiture venait de heurter violement le camion d'en face. j'avais dévié ma route parce que je regardais Diego. la voiture fit trois tonneaux. elle s'arrêta dans le champs. ma tête me faisait affreusement mal  mais j'étais toujours en vie. avec difficulté, j'arrivais à défaire ma ceinture de sécurité. le temps que je sorte de la carcasse, les pompiers, la police, tout le monde était là. je rampais au sol en criant à l'aide. un pompier se planta devant moi et m'aida  à me redresser.  ma fille et mon mari sont dans la voiture. sauvez les, je vous en pris. criais-je en m'énervant sur ce pompier, en voulant l'entrainer vers la voiture. mais il me retint. il me bloqua au niveau du ventre, je secouais mes jambes dans le vide criant comme une furie, comme une folle. ne vous inquiétez pas, on s'occupe d'eux. je n'arrêtais pas de bouger. puis j'arrivais à me libérer, à courir avec le peu de force qu'il me restait. je n'allais pas les abandonner alors que j'étais la fautive. c'était moi qui n'avait pas été maitre de mon véhicule. j'avais regardé ailleurs alors que j'aurais dû regarder la route. être concentrer. Diego ! DIEGO ! criais-je alors que je m'aperçus qu'il venait de sortir mon mari. ils déposaient sur une civière. je voulais lui tenir la main, sentir sa chaleur et lui murmurer que tout va bien. cependant, un drap blanc vint recouvrir son visage et là, je compris. je compris que je venais de le perdre. que s'en était terminé. il était mort. il était mort. je l'ai tué. Lolly ! LOLLY ! et ce fut le même spectacle. je vis la même scène mais avec le corps de ma fille. je m'effondrais sur le sol, mes joues baignant dans l'eau salée. je venais de perdre ma vie. je venais de perdre mon bonheur en même pas quelques minutes. le même pompier me prit le bras. vous devez aller voir un ambulancier pour soigner votre tête. je n'avais même pas fait gaffe que mon front était en sang et qu'une énorme balafre partait de ma joue et allait jusqu'à mon cou. j'étais anéantit. j'étais dans un état indescriptible. je ne savais plus ce que je voulais. je n'avais même plus cette envie de vivre. j'aurais voulu mourir avec eux. j'aurais même du être la seule à mourir dans cet accident. je le méritais plus qu'eux.  

❝ SANS LUI. SANS ELLE. JE NE SUIS PLUS RIEN. JE NE MÉRITE PAS D’ÊTRE HEUREUSE, JE NE MERITE PAS DE REFAIRE MA VIE. ❞ Bon voyons voir. Après avoir décréter que j’étais dépressive ou quelque chose de ce genre. Vous me mettrez sous traitements. Et bien moi, je connais des centaines de personnes dans le même cas qui s’en sortent très bien, je vous assure. Je partirais d’ici, et je retournerais travailler avec mes nouveaux anti-dépresseurs. J’irais diner avec mes parents. Et j’arriverais à les convaincre que je suis devenue celle qui leur a jamais posé de problèmes. Et puis un jour, un autre type me demandera en mariage. Il sera plutôt gentil et ça rendra mes parents heureux. La première année, on fera l’amour tout le temps. La deuxième et la troisième de moins en moins. Et, quand on commencera à en avoir marre l’un de l’autre, je tomberai de nouveau enceinte. S’occuper des enfants, conserver son emploi, payer le crédit de la maison, ça nous permettra de maintenir l’équilibre pendant quelque temps... Et pour finir, au bout d’une dizaine d’années, il aura une aventure parce j’aurai été trop occupée et trop fatiguée. Un jour, je l’apprendrai. J’menacerai de le tuer, de tuer sa maîtresse, de me tuer. On tournera la page, et puis quelque années plus tard, il recommencera. Mais cette fois, je ferai semblant de ne rien savoir parce qu’en fin de compte ça ne vaudra pas la peine de faire des histoires. Et je vivrai le restant de mes jours en espérant parfois que mes enfants pourront avoir la vie que je n’ai pas eue. je vais bien, je vous assure. Je ne sais pas du tout ce qui m’a pris ce soir-là mais quand je suis rentré, je me suis posé devant l’ordinateur. J’ai écrit une lettre, une lettre qui représentait une espèce de lettre d’adieu. Je n’arrivais pas trouver quelque chose à quoi me rattacher dans ce monde. Mes mots étaient bien simples. De toute façon, personne n’allait lire cette lettre puisque personne ne tenait à moi. Je n’étais qu’une fille parmi tant d’autres. Ma famille ne se souciait guère de moi maintenant que j’avais quitté le domicile. Je n’ai plus de mari, plus d’enfants. Peu d’amis. Je les ai perdu, c'est de ma faute et je n'arrive pas à vivre sans eux. Après avoir rédigé ce tissus de conneries, j’ai avalé un à un mes cachets pour ma dépression. Je n’ai pas fait marcher arrière. Je les ai tous avalé sans me soucier de ce qui il allait m’arriver. Il n’a fallut que quelques secondes pour que ma tête me tourne et que tout devienne noir. Je me suis réveillé cinq heures plus tard dans un lit d’hôpital. Les médecins m’avaient sauvé. Ils m’avaient ramené à la réalité. Peut-être que c’est une bonne chose car en repensant à tout ça, je me suis dit que j’ai fait une connerie monumentale. Ce n’est pas en me suicidant que j’allais résoudre mes problèmes. Je devais montrer que j’étais forte. Que je pouvais réussir ma vie mieux que quiconque. faire quelque chose qui pourrait rattraper mon erreur.

❝ LE CHEMIN SE DESSINAIT DEVANT MOI. J'AI PRIS CETTE VOIE POUR ME RACHETER, POUR CHANGER LES CHOSES ET RENDRE LA VIE DE CERTAINS MEILLEUR. ❞  tu peux pas faire ça, Max. toi dans l'armée, mais tu es folle. j'avais mon choix. des jours et des nuits que je cherchais, que je faisais le tri entre les pour et les contre. à chaque fois la colonne des pour l'emportait. je n'allais pas changer d'avis et puis de tout façon, c'était trop tard. j'avais signé. j'avais signé pour rentrer dans l'armée. demain, je serais un soldat. je serais un être humain parmi d'autres. je serais banal et j'aurais cette chance de pouvoir m'améliorer. personne n'aurait pû penser que j'étais capable de le faire. même pas Skylar. c'est vrai, je ne suis pas le genre de filles super forte, le genre garçon manqué ou encore le genre qui a fait du sport toute sa vie. cependant, je sais que je peux y arriver car depuis la mort de mon mari et de ma fille, j'ai changé. je suis différente et j'ai envie d'aider les autres, j'ai envie de sortir les armes. je n'ai plus envie de voir des vies détruites alors je vais me battre dans les rangs de l'armée américaines. si je peux le faire. et de tout façon, c'est trop tard, j'ai fait mon choix. elle posa ses mains sur mes épaules. ça c'était son regard pour essayer de me faire changer d'avis, le petit regard de chien battu. ça marchait mais pas aujourd'hui. je ne vois pas pourquoi je changerais d'avis à cause de ça. tu n'es pas bien, tu n'as pas les idées claires. tu as vécu tellement de choses, tu dois prendre du recul. tu as besoin d'accepter la mort de ton mari et ta fille. tu fais sur un coup de tête. elle n'avait pas tord. si Diego et Lolly, je ne serais jamais rentré dans l'armée. j'aurais continué à faire mon métier, à faire des toiles et à les vendre dans ma galerie. une galerie que j'avais vendue hier, des toiles que j'avais brulé dans le jardin de ma maison. plus rien ne me rachetait à ma vie. plus rien. Skylar compte pour moi. seulement même si elle m'aide beaucoup, elle ne peut pas m'aider. j'ai besoin de l'armée pour ça, j'ai besoin de faire ça. j'ai tout essayé et c'est ma dernière chance. la dernière chance de rester en vie et de ne pas essayer de mettre fin à mes jours une autre fois. c'est facile de le dire, tu n'as rien vécu. personne n'a eu ma vie. personne ne peut comprendre. le seul qui arrivait à me guérir, c'était Diego. mais je l'ai perdu. il est temps que je change, que je donne ma vie à quelque chose. que je sois plus forte. tu n'es pas seule, Max.  tu as tes parents, tes frères et puis moi. tu peux y arriver. tu as réussi une fois à surmonter le pire. tu n'as pas besoin de faire sortir la force que tu as au fond parce qu'elle est déjà en dehors. elle parlait de mon kidnapping, de mon évasion. de deux ans et demi loin de la vie et la manière dont j'ai doucement repris les choses. je me suis réhabitué à me lever à midi, à peindre, à profiter des petits plaisirs qu'est le cinéma ou manger un gâteau au chocolat. à faire du shopping, à passer du temps au parc avec Lolly. des petits choses qu'il m'interdisait, des choses qu'il ne voulait. les bleus ont disparu aussi. j'ai appris à ne plus me laisser être apeurer par un homme. j'ai réussi, c'est vrai. mais cette réussite n'aurait pas été là, si ma route n'avait pas croisé le chemin de Diego. j'en ai besoin. j'ai besoin de voir que l'extérieur ne doit pas être un frein à sa vie. elle se tourna vers la porte d'entrée. une maison qui allait être vendu aussi. elle  n'était plus ma maison. elle était la maison des Maxwell. je jettes l'éponge. fais ce que tu veux. ce n'était pas son genre. d'habitude, elle se battait bien plus longtemps. elle aimait avoir raison, elle aimait être celle qui aide. pour une fois, elle comprenait que j'avais fait mon choix. mon propre choix selon mes envies. cependant, je ne voulais pas la perdre. ce n'était pas parce que je rentrais dans l'armée que s'en était fini de notre amitié. Skylar est chère à mon cœur, elle est comme une soeur pour moi. la soeur que je n'ai jamais eu. Skylar. elle se retourna. je vins vers elle, et la prit dans les bras pour la serrer. ne croit pas que tu comptes plus pour moi. je serais toujours là. elle souria et me serra à son tour. elle enleva son collier et le mit autours de mon cou. je t'interdis de mourir Maxxie Deluca.

❝ JE NE SAIS PAS SI MOURIR SERAIT UNE DÉLIVRANCE. SEULEMENT JE SURVIE POUR LES AUTRES, POUR AIDER LES DERNIERS HUMAINS DE CETTE TERRE. ❞ la terre, notre cher terre. l'endroit où on grandit, où on souffre et où on est heureux. on réussissait à avoir un peu de tout. les vies n'étaient pas parfaites, mais c'était pas grave. mais voilà que l'enfer s'abat. que les humains se relèvent pour devenir des êtres horribles et mourant qu'en détruisant leurs cerveaux. on n'était pas préparé à un tel problème et pourtant on avait eu des tonnes de mise en situation. des attentats, des guerres, des problèmes... mais rien ne ressemblant à des zombies. on est dans le flou total. la seule chose à faire, c'est d'aider. de prendre les armes et de défendre les derniers humains qui ont réussi à survivre. je ne sais pas de quoi sera fait mon futur. je ne sais même pas si je peux employer le mot au vue de la situation. chacun semble vivre au jour le jour. c'est la meilleure chose à faire. profiter des derniers minutes, des derniers secondes... c'est un long combat. seulement, on a beau en tuer, il y en a toujours qui reviennent. c'est comme si notre travail ne servait à rien. je ne lâcherais rien. je ne lâcherais pas. je ne vais pas faire la même erreur que dans le passé....


Dernière édition par Maxxie K. Deluca le Mer 31 Juil - 15:11, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world.   maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world. EmptySam 27 Juil - 11:07

Bienvenue en enfer sexy succube.
Au plaisir de te lire jusqu'à ce que mort s'ensuive... maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world. 3017087786 
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MessageSujet: Re: maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world.   maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world. EmptySam 27 Juil - 11:14

La belle Crystal maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world. 1073887748 
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MessageSujet: Re: maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world.   maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world. EmptySam 27 Juil - 11:25

Très très bon choix d'avatar. maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world. 388342071 
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MessageSujet: Re: maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world.   maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world. EmptySam 27 Juil - 16:08

Oh Crystal Reed, tu me prends par les sentiments maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world. 4197509924 

Bienvenue sur le forum, bon courage pour ta fiche - qu'il me tarde de lire oh ouiiiiiii - garde-moi un petit lien au chaud et amuse-toi bien parmi nous! maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world. 407633263 maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world. 2471982478 
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MessageSujet: Re: maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world.   maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world. EmptySam 27 Juil - 16:15

merci maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world. 2471982478 
il y a aucun soucis douce reine maxxie + I want to be stronger, I want to forget to survive in this world. 199575006 
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